Le Spinoza de Robert Misrahi (suite)

Il aime également l'immanence radical chez spinoza l'immanence la transcendance vous avez désormais que c'est son de lecture du monde la transcendance suppose une verticalité qui vous renvoie vers un ciel dit des idées ancien intelligible si elle chrétien ou un ciel religieux et il m'annonce vous dit l'inverse la lecture de mes pas verticale mais elle est horizontale et la vérité du monde est dans l'horizontalité de seconde n'allait pas chercher en dehors de ce monde la vérité ou la raison de ce monde la raison de ce monde est ici et maintenant dans l'immanence ce qu'il aime également c'est sa morale déconnecter de la religion pas forcément de dieu on va voir ce que dieu chez spinoza pas forcément de dieu mais de la religion pas besoin d'aller chercher une transcendance une espèce de clou sur lequel on pourrait accrocher. La morale qui pourrait être un clou théologique du genre tu es venu il nous a dit un jour table de la loi tu ne seras pas seul si tu me feras pas cela les dix commandements et donc on a à l'origine de toute morale concrète un dieu et une théologie ça c'est un vieux monde spinoza nous dit éthique mort est géométrique au matin ça veut dire selon l'ordre de la géométrie il faut chercher un modèle dans les mathématiques pour fabriquer une éthique une morale j'avais déjà dit des cartes avant lui hein pas du côté des mathématiques mais du côté d'une introspection qui aurait la rigueur des mathématiques des cartes et cette introspection elle nous permet de dire et bien on doit savoir ce qu'est la réalité du monde à partir de cette réalité on déduit une morale mais on n'a pas besoin de dieu pour ça il est mégane manger chez lui la politique démocratique donc déposition franchement républicaine au sens étymologique évidemment sens de chose publique il défend la chose publique ce qui suppose et ça aussi c'est un débat contemporain le refus de la théocratie le vrai débat il est entre les et les théocrate entre la démocratie qui nous dit que le duc raciste de démocratie selon le pouvoir à démocratie c'est le peuple théocratie pouvoir de dieu et bien il y a des gens qui pense effectivement que le pouvoir il est du côté du peuple que la souveraineté elle est populaire démocratie et ceux qui pensent que la souveraineté elle est du côté de dieu théocratie. Il considère également robert misrahi que ce que fait spinoza de son judaïsme et intéressant c'est sûr que le judaïsme c'est toujours le livre exercices de l'intelligence quand un peuple et persécuté qui les nomades et qui n'a pas de terre et part avec son livre et que il devient un peu plus du livre donc un peuple de de la lecture de l'intelligence de la subtilité de l'exégèse de l'herméneutique exetera exetera donc une intelligence du livre chez un peuple à qui on a dit qu'il n'était bon qu'à ce livre parce qu'on l'a persécuté pendant très longtemps donc il y a chez les juifs un livre exercices de l'intelligence et il estime que le judaïsme c'est ça et que ce n'est pas la récitation d'un catéchisme obligé qui serait catéchisme dogmatique il ne dirai ce qu'il faut penser ce qu'il faut croire ce à quoi il faudrait obéir l'intelligence fait la loi et l'obéissance dans un judaïsme digne de ce nom selon robert misrahi évidemment ça fonctionne un plein chez spinoza. Si vous savez que vous n'êtes pas libre c'est l'une des subtilités de la pensée de spinoza c'est la même chose avec nietzsche et qu'il aimait beaucoup tellement d'ailleurs que j'ai du mal spinoza nous dis quand vous savez que vous n'êtes pas libre alors vous êtes libre et ce n'est pas qu'un paradoxe la connaissance du déterminisme nous rend libre. Parce que on sait qu'il nous reste pas grand chose à faire consentir obéir vouloir à mort fatigue et rani tu veux ce qui advient car tu n'as pas le choix et ça d'ailleurs je suis rentré chez lui c'est celui qui sait qu'il n'a pas le choix et qui consent à tous ceux qui a dit il y a déjà ça chez spinoza qui nous dis quand vous connaissez les choses et bien vous êtes libre vous vous libérer la connaissance libère le savoir donne la joie quand vous savez que vous n'avez pas le choix normalement vous êtes censé parvenir d'une espèce de clairière de sérénité qui fait la joie et qui fait la béatitude donc évidemment il va falloir pour robert misrahi choisir dans tout ça à spinoza qui lui plaît un spinoza qui lui déplaît donc le qui lui plaît la joie la béatitude la connaissance qui libère ce qui lui déplaît et le déterminisme et la négation du du libre arbitre.