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La compulsion de repetition et la nevrose de destin

Petite parenthèse petit détour par freud parce que je pense que les deux notions mise en place par freud dans au-delà du principe de plaisir en 1920 sont des deux notions qui nous permettront de comprendre un petit peu il met en place ce qu'ils appellent la compulsion de répétition. La composition de répétition suppose que certaines scènes traumatisante que nous aurions vécu dans un temps passer soit revécu sens est-ce que nous nous propose riom nous évidemment c'est l'inconscient que l'inconscient proposerai de réitérer des scènes traumatisante ce qui explique espèce de logique un du violeur violet de l'abuseur abuser ou du frapper frapper c'est que les gens qui ont subi quelque chose font subir à d'autres ceux qui n'ont pas été capable de résoudre c'est la composition de répétition les scènes traumatisante reviennent en permanence dans une existence on a l'impression qu'on peut dépasser les situations mais on se remet très exactement dans les même situation parenthèses d'ailleurs pour dire que un petit imaginer que la compulsion de la pétition entretien de relation avec l'éternel retour ce qui revient sans cesse ne peux pas ne pas intéressé un personnage comme nietzsche qui voit réapparaître chez lui ce qu'il avait vue chez son père notamment de l'agonie. C'est la pensée de nom n'est pas consenti mais vous verrez c'est aussi celle de dire que c'est la pensée de nietzsche et que je récupère ça aussi la réitération des souffrances elle procure paradoxalement du plaisir et que le principe de plaisir s'associe à l'impulsion de mort singulièrement il est pas très clair là-dessus parce qu'il va aller jusqu'au bout non plus cette aventure mais il nous dit je constate que dans cette répétition les gens semblent retrouver une espèce de sérénité c'est-à-dire que je te mens le violeur qui viole on a l'impression que quand il est dans la répétition de ses propres gestes la bien sûr il est dans la pulsion de mort mais il y aurait jouissance à réitérer la pollution de mort pourquoi tu me dis ça et si on met en perspective avec un texte de nietzsche le paragraphe 229 de par-delà des rives mal et bien on est assez sidéré tu me dis on trouve aussi de la jouissance à souffrir soi-même et à faire souffrir. Donc imaginé que la souffrance qui se répète de façon automatique constitue une joie qu'on peut vouloir voir se répéter sans cesse ça pourrait être une espèce de lecture possible c'est-à-dire que l'agonie du père qui est un traumatisme chez le petit garçon qui est nick et bien cette agonie elle réapparaît sans cesse sur le mode de la compulsion de répétition et dans la composition de répétition et de réjouissances jouissance dans la souffrance je souffre de mes problèmes de vue je souffre de mes problèmes de migraine je souffre comme mon père souffre et et je jouis de souffrir comme mon père souffre est un peu t'imaginer que la composition de la pétition offre une clé pour saisir le comportement de nietzsche. Parle également d'une névrose de destin il nous dit quand on est dans cette fatalité existentielle quand vous répéter ce que vous avez vécu comme un traumatisme parce que vous pensez que vous pouvez vous en sortirez que la répétition est une espèce de sérénité parce que la pulsion de mort le principe de plaisir entretien dans cette aventure une relation et bien on peut imaginer que il y a une névrose de destin il y a des gens qui sont destinés à reproduire ce qu'ils ont vécu sur le mode traumatique c'est ce qui arrive anice en pot imaginer que l'existence de nietzsche et bien c'est l'éternel retour des souffrances de son père ou une espèce de jeux sans cesse recommencer de l'agonie interminable de son géniteur une espèce de duplication inextinguible du traumatisme vécu dans la 4e et la 5e année souvenez-vous la dernière fois j'ai parlé de la lettre a overbeck écrit par nique le 30 juin 1887 il parlait de sa profonde inhibition psychique ou de la dépression permanente on peut t'imaginer que l'explication de cette inhibition le psychique elle est dans cette aventure de la coupe le son de la pétition et de la névrose de destin telle que freud la n'a proposé. Le vre de nietzsche pour cette histoire bien ce serait le journal de bord du travail de cette névrose le destin et on verra comment tout ça fonctionne chez nietzsche comment fur et à mesure de la production de de son œuvre il se construire à partir de l'agonie la mort du père du rêve prémonitoire du déménagement du milieu de femmes des somatisation du refuge dans le monde esthétique et 2 fait si l'on dispose de cette clé complétion de la pétition 3e névrose de destin et bien on comprend comment n'y a plus faire de son existence cette réitération de la vie de son propre père c'est dur de la souffrance de l'agonie son propre père et il y a tout de même quelque chose qu'il faut savoir c'est que tous ces symptômes qui inonde la correspondance de need jusqu'à sa folie disparaissent dès que la folie arrive et c'est parce que j'ai mis en perspective la disparition des symptômes qui ont été des symptômes si douloureux dans les distances de nietzsche que je me suis dit mais effectivement il n'y avait pas de somatiser dans cette aventure lors de la somatisation bien sûr mais des affaires de physiologie sûrement pas puisque au moment où la raison s'en va au moment où sombre dans la folie il cesse d'avoir des problèmes de vue de ophtalmie de migraine et cetera et cetera c'est-à-dire que il devient fou non pas à parce que il aurait mis en péril la question de dieu mais parce qu'il s'était proposé de réitérer ce que son père lui-même a vécu d'état dire une mort une mort prématurée comme il lui disait non c'est propre tom voilà pour cette séance.