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La theorie de la sur-repression

Je voudrais examiner avec vous quelques concept essentiels l'économie de eros et civilisation notamment le concept de sur répression. Voir comment est construit ce concept à partir de répression du pense que peut-être la répression est nécessaire mais qu'il y a une sur répression il définit ainsi marcus d'assurer pression il parle des restrictions rendue nécessaire par la domination sociale. Donc on nous dit il faut renoncer à vos instants et ce renoncement passe par un certain nombre de mécanismes le dispositif qui nous font renoncer nos instants le travail. Quand on travaille certains temps 60 heures par semaine aujourd'hui de rythme en 35 heures et il est bien évident que pendant ce temps-là on est tout à son travail c'est-à-dire qu'on est pas à sa libido qu'on est bien obligé de concentrer son énergie sur le sur le travail c'est donc un instrument de domination sociale que le travail ça ne s'appelle pas en latin tripalium instrument de torture ça n'est pas une un instrument de torture par hasard le travail nous dit marcus qu'il fait la critique également du mariage de la monogamie de la fidélité j'ai eu l'occasion d'en parler tout à l'heure de la division du travail où l'on retrouve des échos du marc des manuscrits de 1844 la division du travail et aliénante à l'époque où ouvrier ou un artisan faisait son sabot du début jusqu'à la fin il allait du morceau de bois juste que je trouve ça beau que je te la personne qui en avait besoin il faisait tout toutes les opérations il est maîtrisé donc il n'était pas aliéné à son travail aujourd'hui chacun fait son puis son petit travail et le voisin celui d'avant celui d'après vont ajouter leurs petits bouts de travail au bout du compte on aura un objet finit bien la division du travail et contribuer à l'aliénation on ne voit pas ce qu'on fait on ne voit pas pour qu'elle pour qu'elle l'objet définitif on peut travailler. Il considère marcus que le capitalisme des sexualize l'organisme la totalité de l'organisme c'est pour concentrer la sexualité sur la génitalité et ça aussi c'est bien. Le dit nous dit voilà il y a une évolution sexuelle a priori nous sommes nés les enfants sont des pervers polymorphe. C'est-à-dire que pour la sexualité elle est partout un enfant il va il va être mouillé son doigt il va se caresser il va avoir des érections est-ce que j'ai dit zizi et cetera et un enfant il a d'abord une sexualité général c'est la totalité du corps qui est sexuée chez l'enfant et l'éducation va faire de telle sorte que nous allons concentrer notre sexualité sur la génitalité. Évidemment contre cette idée qu'il faudrait réduire la sexualité à la génitalité il voudrait ouvrir la sexualité à la totalité du corps en disant que c'est le corps tout entier qui est un instrument sensuel et sexuel. Trop dame a pensé cette chose-là de manière très classique préjugé au chrétienne, espèce de fascination et de détestation du sexe chez freud et une sexualité normal. C'est la sexualité d'un homme et d'une femme avec l'intromission de l'organe sexuel masculin dans l'organe sexuel féminin avec la visée extrêmement simple de produire un enfant c'est extrêmement simple chez freud tout ce qui sort de cette logique la est nommé perversion chez freud. Et il considère que toutes les perversions sont pareillement détestable. Marcus fait exploser tout ça en nous disant que le capitalisme produit des névroses. La sexualité dans un régime capitaliste qui nous fait savoir que un homme se fait pour une femme se fait pour faire des enfants ça produit une sexualité catastrophique c'est pas souvent c'est que des fois c'est pas longtemps c'est pas brillant si il faut être synthétique donc on n'a pas on a pas l'occasion de faire de l'érotisme une fête ou une joie ça devient une espèce de d'hygiène et cette île de la est déplorable à l'évidence il faut changer ça nous dit marcus et en même temps il faut savoir que parce que ça fonctionne comme ça on va générer de la position de mort et de la thanatophilie quand il y a de la répression il y a des inhibition quand il y a des inhibition de la souffrance et c'est ainsi que se constitue la pulsion de mort c'est parce que nos sexualité ne sont pas épanouie que nous sommes fascinés par le spectacle de la mort c'est parce que nous avons une sexualité inaccompli que nous sommes fasciné par la guerre le viol la violence la brutalité le sang et cetera et cetera. Les sexualité réprimer genère toujours des sociétés thanatophilie c'est le principe même du fraude au marxisme la répression c'est donc cette répression qui outrepasse une répression qui pourrait être nécessaire.