Pour une treve civile

Et de fait une façon de d'inviter chacun à faire à faire un effort pour que l'on puisse se retrouver sur des sur des positions commune et camus propose une trêve civil le 10 janvier 1956 il vient il a été menacé de mort mais il veut faire cette réunion il souhaite que les populations civiles soit épargnée par le fln et l'armée française. De belligérant donc il dit dialogue dialoguons on est fait pour vivre ensemble et aucune guerre ne dure éternellement. Et c'est une idée intéressante aucune guerre ne dure éternellement pensons donc à la prague. Le fln les dire. Mais en même temps il découvre que c'est les félins qui encadre le service de sécurité qui est le service de sécurité le protège alors qu'il appelle à la trêve civil et le fln continue donc un double jeu en mars 1956 guy mollet viens en algérie on dit qu'il reçoit des tomates il était venu pour nommer un gouverneur général plutôt pacifique ou plastifiant ça lui fait changer d'avis pour la férocité de la répression énorme quelqu'un qui va effectivement augmenter la pression. Robes les visites camille à paris quelques temps après. Et une autre ceci en rentrant chez lui. C'est une c'est une phrase pour qu'elle lui dis et les écrits de prendre les guillemets c'est camille qui parle si un terroriste jette une grenade au marché de bellecour que tu fréquentes ma mère et qu'il l'a tu je serai responsable dans le cas où pour défendre la justice j'aurais également défendu le terrorisme j'aime la justice mais j'aime aussi ma mère. Donc c'est important parce que la formule et plus et plus subtil et on voit bien qu'il aime la justice mais qu'une justice qui supposerait l'injustice ne serai plus justice j'ai vu la fin ne justifie pas les moyens et s'il est juste de vouloir l'indépendance de l'algérie il est injuste de la vouloir avec des bombes et des victimes innocentes quand elle défend la justice c'est une justice qui n'a pas besoin d'un justice pour s'exprimer mais une justice qui aurait besoin de l'injustice pour se manifester alors. Ce n'est pas la justice donc il ne justifie pas cette justice là et justifie plutôt sa mère mais on est en viendra. Sur cette question de la tortue au cerveau si beaucoup fait de mal. Albert camus parce que les sortes rien en fait savoir qu'il ne s'était jamais exprimé là-dessus sous-entendu il est contre il est contre le les exactions du fln mais finalement les exactions de la de l'armée française et la torture notamment au ça te gêne pas beaucoup c'est pas vrai je voulais un long texte vous verrez qu'il y a une critique de la torture chez camus il y a un très beau livre d'henry il s'appelle la question que les éditions de minuit publié en 1958 ou effectivement 2017 sion très très clinique des tortures quelques henri alleg a subi ce texte est terrible terrible et les intellectuels française en a ils ont bien raison pour critiquer le terrorisme la torture tel qu'il est pratiqué par les officiers de l'armée française ou l'armée française et c'était effectivement un bon combat juste combat que celui qui s'est fait autour de la question. Faut que tu me dis mais c'est bien de dénoncer la torture des militaires français mais pourquoi ces gens-là ont des indignation sélective pourquoi les mêmes. Trouves normal que mais nous on puisse exister il a écrit contre la torture et ça se trouve dans actuelle 3 en 1958 il dit pardon de la torture celle-ci a peut-être permis de retrouver 30 bombes au prix d'un certain honneur mais elle a suscité du même coup 50 terroristes nouveau qui opérant autrement et ailleurs je rends mourir plus dinos encore plus précise de la torture à cette époque-là donc brochier a tort de laisser croire que camus veux la guerre et n'écris rien contre la torture à cette époque-là camus fait son métier de philosophe défend la paix le dialogue l'écoute la diplomatie la négociation la trêve les civils bien sur le pouvoir de la raison de l'intelligence de la culture ça me paraît être le minimum pour un philosophe. Sartre de son côté défend la violence la brutalité les crimes des meurtres les attentats la torture et la guerre pourvu que la fin visée soit l'indépendance du pays.