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Une ville nouvelle Une nouvelle ville

Abolition de l'aliénation cette fin du spectacle si vous voulez elle nomme le communisme le communisme chez guy debord c'est la réalisation de l'homme réconcilier c'est le déplacement du spectaculaire en ou dans cette configuration là devant nous dit que on assiste à la mort de la culture à la mort de l'art à la mort du tourisme et cetera la culture c'était le lieu de la séparation c'est l'instrument du spectacle avant la révolution c'était la mise à distance du monde réel dans une illusion devant laquelle on se prosterner mort de l'art mort de mort de la culture mort de l'art qui était lui signe de la décomposition de l'époque il y avait les artistes. Et ceux qui regardent et l'art avec la société communiste selon guy debord chacun devient artiste lui-même l'art n'est plus dans la forme susceptible d'être une marchandise vendue stocker sur laquelle on peut spéculer l'art c'est la création de la subjectivité mort donc de l'art classique au profit d'une esthétique de l'existence mort du tourisme qui lui vivait de la consommation d'une certaine manière on connaît des images du monde et quand on se déplacer convoyage on s'en va vérifier la réalité la vérité tu es images vous avez vu des reportages sur les pyramides et vous allez voir les pyramides que vous allez photographier pour en faire des images et des films et vous allez rentrer chez vous sans avoir regardé les pyramides mais quand vous serez rentrés chez vous vous regarder les films que vous avez fait des pierres. Et bien le tourisme c'est ça c'est le spectaculaire et bien il faut abolir le spectaculaire non pas pour vivre de la consommation de l'image qu'on aura fabriqué ou diffusés mais de faire de telle sorte qu'on puisse vivre le réel dans un temps direct qui sera le temps de la subjectivité et puis là non c'est là on va pas rentrer dans les détails de la mort du structuralisme la mort de la sociologie la mort du nouveau roman le la mort de la ville ancienne. Nous dit que la ville ancienne c'était une ville sans rue donc sans parler terre pour y descendre encombré par les voitures il est contre les autoroutes la domination des autoroutes il est contre la disparition des centres anciens dans les dans les dans les villes des contrôles l'avènement des supermarché géant qui sont construits sur des terrains vagues et sur les socles de parking sur lesquelles on construit ses fameuses supermarché géant il contre la séparation de la ville de la campagne contre la pseudo campagne ce qu'ils appellent la photo de campagne sur cette cette zone intermédiaire les zones pavillonnaires la plupart du temps entre les banlieues des villes et les franges les campagnes il est contre l'architecture que il appelle sa l'architecture pour les pauvres architecture des usines des maison de la culture des villages de vacances ou des grands ensembles il est contre les ce qu'on appelait à l'époque les villes nouvelles et il voudrait qu'on construise justement des nouvelles villes citation il proposons de reconstruire intégralement le territoire selon les besoins du pouvoir des conseils de travailleurs de la dictée anti-étatique du prolétariat du dialogue exécutoire. Voilà rapidement parce que c'est un c'est un livre dans ce qu'on trouve dans la société du spectacle le livre paraît le 14 novembre 1967. Dans cet ouvrage debordee ce qui peut advenir mai 68 tu as bien et réalisera pour le meilleur et pour le pire à certains noms des prévisions de guy debord mais ça c'est une autre histoire.