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Le tetrapharmakon I - La mort et le neant

Première affirmation la mort n'est pas un mal. Épicure nous dit elle n'est pas un mal pour une raison bien simple c'est que nous sommes tous constitué de matières il n'y a que de la matière et que du vide et nous sommes un agencement particulier de matière avant nous l'agencement n'existait pas après nous l'agencement n'existe plus mais ce que nous sommes le temps d'un agencement bien c'est notre identité la mort elle ne concerne que l'agencement que nous sommes mais elle ne concerne pas la matière qui est la nôtre les atomes sont éternels donc il y a pas à craindre la mort elle n'est pas un crâne puisqu'elle ne concerne que le pire formel il espèce d'immortalité de notre être en soit nous dit épicure il me dit également que la mort c'est souvent l'idée de la mort c'est beaucoup plus d'idées de la mort qui nous fait peur que la réalité de la mort nous dit la mort elle est pas comme ça mais je dis dans cette hermelin il nous dit la mort elle est mille fois en puissance 10 minutes font 100000 x 1 puissance et une seule fois en acte c'est-à-dire que des centaines de milliers de fois dans votre existence vous aurais peur de la mort vous aurez eu peur de la mort mais elle n'aura pas été là vous leur écrire comme une représentation comme une hypothèse comme quelque chose qui vous arrive dans le futur dans un futur extrêmement lointain en revanche la vérité la réalité de votre mort dans l'instant et bien c'est unique fois la plupart du temps. En ce sens et j'ai une théorie simple sur la question de la mort et sachez qu'elle est la plupart du temps une représentation et contre laquelle vous pouvez lui donner par une autre représentation dites-vous que c'est pas tout de suite et que le jour où ça arrivera ce sera bien assez vite ce sera bien assez tôt et que vous aurez aborder la question le jour dit au moment dis quand il le faudra mais que pour l'instant il ne faut pas vous inquiéter de quelque chose qui ne vous concerne pas directement autre façon d'apprivoiser quelque peu la mort je peux avoir le dis le temps revient éternellement. Et il écrit que l'éternel retour est un genre d'immortalité dans le temps ça aussi c'est une idée consolante et c'est une idée qu'on retrouvera un petit peu plus tard chez nietzsche sa fameuse théorie de l'éternel retour c'est une idée qui bien sûr se retrouve chez les hindouiste. Éplucher les bouddhistes le christianisme propose une lecture linéaire du temps ça dure une flèche du temps là où vous êtes vous êtes dans un instant et vous avez passé qui est derrière vous avez un futur qui est devant vous et ce qui est passé ne reviendra jamais et ce qui est futur et avenir ça c'est la théorie classique du temps chez un judéo-chrétien ça dure chez nous même quand on est à tes seins occidental pense le temps sur le terrain de la flèche à partir de d'une métaphore qui sera la métaphore de la flèche. Les hindouistes et les bouddhistes le pense de manière totalement opposé sur le mode circulaire ce qui a eu lieu aura lieu à nouveau ce qui a eu lieu reviendra éternellement le temps n'est pas une flèche le temps et une spirale et ce que vous avez vécu vous le revivre est exactement de la même manière vous aurez des conflagration de monde mais les agencements qui ont fait que vous êtes ce que vous êtes et bien il se reproduiront et vous reviendrez donc il y a une pensée de la consolation dans cet éternel retour dans cette idée de l'éternel retour. Troisième possibilité pour apprivoiser la mort il reprend des des piqûres bien sûr je vous ai tout à l'heure que piqûre nous disait que nous n'étions que matière atome et qu'il y avait eu une indestructible it des atomes il y avait une décomposition des atomes mets une composition des atomes et en temps quand on nous étions immortel en tant qu'agent ce moment nous sommes mortelles mais en tant que atome nous sommes immortels et bien je le dis il y a une possibilité de notre être en soit ce que nous sommes véritablement ça dire le vouloir du vouloir pure de l'incarnation de vouloir et bien ce vouloir là il durera il a duré avant vous il était il existait déjà il dure avec vous il est avec vous il durera dans le futur sans vous ou magret vous dire que ce qui vous constitue essentiellement est inaccessible aux effets du temps il est indestructible voulez-vous n'a pas c'est une séance sur la question de volonté et cette volonté les indestructibles elle est un créé et les incorruptibles et les chapeaux temps elle est d'une certaine manière une matière aussi le temps elle est la matière aussi et tout ça évidemment ne disparaîtra jamais donc consolez-vous le vouloir qui vous constitue lui est éternel pourriez dire ça me fait une belle jambe que le vouloir continuer mais que son incarnation dit soit plus ce qu'on aurait pu aussi rétorquer à épicure la mortalité elle ne concerne le donc ou la mort ne conserve donc la nature phénoménal des choses le phénomène que nous sommes meurt mets-le nous mène que nous sommes ne meurt pas autre idée qui est une idée qu'on trouve dans l'antiquité également et chez les philosophes gréco-romain le néant dont nous promenons effets de la même matière disant le comme ça que le lien vers lequel nous allons nous sommes entre donner avant d'être nous étions dans un an qui était pas douloureux nous n'avons pas souffert d'avoir été dans ce n'est en n'y aura aucune raison donc de souffrir d'aller de nous trouver un jour dans ce n'est donc nous sommes entre donné en est entre les données en il y a lettres et qui est le lieu et le moment de la souffrance lettres la souffrance le net n'est pas terrifiant donc il y a pas avoir crainte à craindre le futur d'après la mort puisque nous n'avons pas à craindre le passé devant notre vie à la structure métaphysique et la structure métaphysique du néant dont nous promenons et du néant vers lequel nous allons est identique elle est homogène nous n'avons pas à craindre le néant vers lequel nous allons parce que nous n'avons pas à craindre l'oignon dont nous promenons sont deux et à le connaître qui ne sont pas des états de douleur ou de souffrance. Il n'y a donc aussi nouvelles idées pour apprivoiser la mort et pour la consoler quelque peu il y a dans cette lecture du temps cyclique cette idée qu'il n'y a qu'un éternel présent cette idée que il y aurait dû passer qu'il y aurait du futur c'est une fiction du championnat voir le passé est une illusion le futur est une illusion également il y a du présent et quelque chose qui a eu lieu peut donner l'impression qu'il y a dû passer ou quelque chose qui va venir peut donner l'impression qu'il y a du futur mais ça n'est que de la projection pure projection dans un temps qui n'est pas projection dans un temps qui n'est plus et on a pas à se projeter dans un temps qui n'est pas dans un temps qu'il n'y ait plus il y en a à vivre dans l'instant pure nous dit il ne faut pas gâcher l'instant et ce sont des idées qu'on a trouvé chez épicure chez d'autres philosophe de la sagesse antique il ne faut pas gâcher son instant présent part la nostalgie du passé ou par la douleur d'une futurition pour le futur vous êtes là ici et maintenant dans un instant pas besoin de ça c'est la douleur d'un pas c'est pas besoin d'aller la douleur d'un futur qui est à venir mais qui n'est pas présent vous allez contaminer votre présente par une douleur qui n'a pas lieu d'être nous dit schopenhauer puisque peut-être se rappelle plus tard mais plus tard c'est jamais donc ne vous occupez pas de ça vous êtes dans un éternel présent au moment où le présent dans lequel vous trouverez sera le présent de la mort il sera bien assez temps bien assez tôt de vous occuper de cette question la qui pour l'instant ne dois pas vous paralyser où vous terroriser. Il conclut en nous disant que c'est la pensée aussi d'un vieux monsieur qui expérimente le vieillissement et qui pense aussi le temps il nous dit il y a pas 36 possibilités il envoie deux mois j'envoie quand même une troisième et il envoie de une vie soit on meurt violemment et à ce moment là on a pas besoin de ariana grande on voit rien du tout soit meurt de vieillesse elle me dit je peux en avoir et si on meurt de vieillesse alors la nature a bien fait les choses parce que elle fait de telle sorte la nature qu'il y a une extinction progressive et la vieillesse c'est ça qui rallye du vouloir je vous ai tout à l'heure que l'enfance c'était d'abord l'intelligence la culture c'était d'abord le travail du cerveau et que c'était par la suite le travail des organes génitaux et de la logique classiquement sexuel bien je peux 9h midi avec le temps tout ça se fasse comme une espèce de bougie qui s'éteint doucement tout doucement il y a un moment c'est le moment naturel ou c'est fini c'est terminé et les vieillards disent tous que ça n'est pas douloureux ça n'est pas pénible ça n'est pas une souffrance que c'est l'heure que c'est le moment venu et c'est pas bien sûr que j'ai raison sur cette idée-là je pense que le vouloir et kiné on est parti mais que il était aussi présent chez des gens qui sont bien obligés de faire de nécessité vertus parce que quand vous êtes centenaires vous savez que votre futur est plus d'eau derrière il oublie également que il n'y a pas que ces deux cas de figure et qu'on peut aussi mourir de manière non violente est pas vieux et que on peut avoir le temps de venir voir la mort mais là il vous dirai qui vous renvoie aux théories des piqûres et de la représentation.