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Helvenius contre Kant, sur le peche, la foi, la moralite

Dans un livre qui s'appelle de la religion dans les limites de la simple raison quand tu nous dis que nous sommes faits d'un bois courbe et que on ne peut pas tailler un bâton droit dans un bois courbin et que ce bâton cours c'est le péché original nous nous sommes marqués par le mal radical. Donc évidemment quand je dis souvent que la la pensée de kant c'est la pensée chrétienne laïcisé formuler dans le langage de l'idéalisme allemande langage de l'université allemande bruciel et bien on pourrait en faire la démonstration ici le mal radical c'est le péché originel mais c'est plus intéressant effectivement quand on est philosophe plutôt que de parler d'adam et d'ève et de parler du mal radical à l'évidence j'ai reçu ça n'a pas de sens de parler du radical qu'est-ce que ça peut bien signifier que de naître avec cette tâche original on a rien fait du simple fait d'être et de naître on serait porter du péché originel ça n'a aucun sens c'est ce que augustin dit c'est ce que toute la philosophie catholique dit c'est ce que quand tu dis également sous les auspices du mal radical. Tu dis à la naissance nous naissons vierge de tout et ça c'est une idée intéressante également de croire qu'effectivement à la naissance il y a pas d'idée bien sûr que des cartes à tort et que dans le cerveau il ne se passe rien d'autre que ce qu'on va y mettre qu'il n'y a rien dans un dans une conscience qu'on y est me a posteriori donc ça c'est une idée essentielle puisque évidemment si nous sommes nous sommes c'est parce que nous a mis dans la tête que nous a mis dans la tête donc cette théorie de la table rase elle est aux antipodes de la théorie théologique qui suppose que nous sommes marqué par le péché originel donc c'est original sous la forme du mal radical chez quand pas de péché originel pas de chair peccamineuse c'est-à-dire porteuse du péché donc pas de salut grâce à une religion qui nous permettrait de nous sauver parce que la redemption serait possible par l'adhésion à cette religion. Donc premier point essentiel on ne démarre pas de la même manière et quand on est quand tu quand on est élevé suce l'anthropologie et la pensée de ce qu'est l'homme il vient chez quand une laïcisation de la pensée religieuse la pensée chrétienne c'est un christianisme qui se formule dans le langage de la philosophie est assez visible c'est sûr que tu l'aies les principes chrétien le pardon l'amour du prochain le pardon des faut te dépêcher et cetera toutes ces choses là on retrouve sa formule et dans les grands livres de quand ils sont des grand livre de morale fondements de la métaphysique des mœurs première partie du fondement de la métaphysique des mœurs la doctrine de la vertu et puis dans l'autre partie deuxième partie doctrine du droit dans lequel la pensée politique de quand mais on voit bien toute la pensée de kant fonctionner comme une pensée chrétienne mets la 6 et alors qu'elle versus est dans une position de laïcité immanente j'ai déjà eu l'occasion de vous dire qu'il était franc-maçon on a pas beaucoup analyser rôle de la franc-maçonnerie dans la pensée de d'helvétius mais ça m'arrive d'être d'être fait théoriquement du moins dans la loge maçonnique qui est la sienne. À l'époque un désir d'immanence pas de transcendance il y a des loges qui sont transcendante avec des logiques maître suprême et cetera mais la pensée dès que j'ai su c'est une pensée radicalement immanente il n'y a que du réel il n'y a pas de transcendance et il faut aller voir la réalité de l'éthique la réalité de la politique la réalité de l'anthropologie dans le réel qu'il faut observer avec les cinq sens. Autre occasion de ne pas défendre les mêmes les mêmes et les mêmes idées la question de la moralité des intéressés vous avez vu tout à l'heure avec des logiques qui préside à l'amitié à l'amour et cetera que c' est l'intérêt qui nous guide qui nous gouvernent. Et qu'il n'y a pas de pureté les intentions quand on donne à quelqu'un dans un geste charitable et bien on tâche de faire son propre salut autrui est un moyen pour moi-même ce n'est pas une fin dans la réalité de tout psychologie quand nous demande l'inverse. Il nous dit il faut considérer autrui comme une fin jamais comme un moyen il faut jamais se servir d'autrui autrui et une fin c'est la théorie de levinas un petit peu plus tard c'est autrui tu as pris mais je ne certaine manière c'est que je suis moi-même doit primer mon existence et ne pense pas que on puisse faire l'éloge d'une morale désintéressé parce que la morale et les toujours intéressé là encore on est par-delà le bien et le mal il n'est pas dans le jugement de valeur en disant que ça ne devrait pas être comme ça qu'il faudrait que ça ne soit pas comme ça non il dit voilà c'est lui qui me motive et bien si on sait que ça fonctionne comme ça il faut construire la morale avec ce savoir la savoir qu'il faut intéressé à la vertu qu'il faut intéressé à la charité éventuellement qu'il faut intéressé à faire le bien et qu'il faut faire de telle sorte que les gens ne sois pas intéressé à faire le mal toute la théorie politique d'helvétius se fera dans ce sens-là comment créer des institutions qui soit susceptible de rendre le bien désirable et de rendre le mal détestable mais mécanique qui suppose que la pureté n'existe pas quand tu penses que la pureté est possible qu'il faut faire le bien pour faire le bien parce que c'est le bien élevé si tu ne le crois pas. Apollo une anecdote je dirais chez à partir de quand si vous si vous ne voulez pas dans un grand magasin parce que vous avez peur que la police vous tombe dessus et bien vous n'êtes pas dans la moralité vous êtes dans l'immoralité même si vous ne voulez pas donc c'est l'intention qui prime c'est parce que vous ferez une morale de l'intention de morale quand c'est donc vous pouvez parfois avec de bonnes intentions faire le mal et on va voir tout à l'heure avec la question du mensonge et vice et versa.