Link Search Menu Expand Document

Pyrrhus et Cinneas

Ses conséquences politiques terribles on les voit chez simone de beauvoir donc. Je vous disais donc que l'existentialisme avait été beaucoup pas attaquer ça c'est une présentation générale de l'existentialisme que je viens je viens de vous faire un chez jean-paul sartre simone de beauvoir voir prendre tous à son compte entière de simone de beauvoir et un plaidoyer pour cette fille dans le philosophique et l'identifie à son à son promoteur je dirais le plus le plus médiatisé et l'écrit donc, c'est cinéaste en 1944 pour une morale de l'ambiguïté 1947 et la sagesse des nations en 1948. Donc elle reprend évidemment la thèse sartrienne nous sommes rien a priori nous venons que par le projet qui est projection et qui donc transcendant. Simone de beauvoir fait un usage abondant du concept de transcendance sens vraiment nous expliquer où conduit sa transcendance transcendance elle conduit dans une logique verticale vers un monde dont beauvoir nous dit pas ce qu'il est c'est pas un ciel des idées ce sont pas des nous mène qu'ancien ce sont pas des abstractions pure viens jamais sur la question de la liberté mais on voit bien que parler de la transcendance se faire de cette liberté une espèce de concept flottant. Très éthéré indépendamment évidemment de la réalité concrète ce qui va dans le sens de mon hypothèse à savoir quand jean-paul sartre fait l'éloge de la liberté en 1943 il fait l'éloge de la liberté ontologique et pas de la liberté politique je suis une audi simone de beauvoir ce que je fais ce qui est une et une évidemment en même temps c'est tout à fait ça. Voir critiques on rentre pas dans le détail mais dans dans ce texte la le culte de l'instant et critique l'hédonisme en nous disant qu'il est une fausse piste et il nous dit que c'est une illusion de croire que qu'on peut télécharger autant en s'installant dans l'infini. Ça c'est sidérant parce que c'est un reproche me critique on pourrait lui faire en considérant que la liberté dans les existentialistes dans le couple sartre-beauvoir en dirham la liberté dans sa retraite pouvoir nous entretiennent nous installer dans un infini cette liberté et elle est avec une majuscule et on a vraiment une idée pure très insoucieuse des leçons que peuvent donner les les vie concrète elle nous dit simone de beauvoir que c'est une erreur de vouloir fonder des éthique ou une éthique et des valeurs sur la religion peut pas construire une morale sur dieu vous retrouver aussi bien sur la pensée de jean-paul sartre la morale ne s'accroche pas un clou théologique elle s'accroche à un clown qui est la liberté et se cloue il est où la question qu'on aurait pu poser à simone de beauvoir si il faut t'accrocher la mort à la liberté à quoi la liberté s'accroche et bien nous le dit quelque part nous dit qu'elle que c'est une croyance. Pose effectivement nous sommes libres et que cette liberté et les totale absolue ontologique métaphysique ferme et définitif. Et critique dans ces choses-là et en même temps elle vente un certain nombre d'idées classique dans la configuration du moment elle fait l'éloge des mouvements de l'humanité en nous disant qu'il m'a dit il va te faire toujours plus de progrès que le progrès 5 ans toujours dans la transcendance et vous allez voir comment doucement on en arrive à la justification de choses terribles elle nous fait l'éloge de la solidarité en me disant que la solidarité se tient pour le prolétariat mais contre les capitalistes et on voit déjà apparaître et espèce de pensée binaire qui consiste à dire qu'il allait bien d'un côté le mal de l'autre et que l'on du bien qui est liberté on va pouvoir massacrer les défenseurs où les tenant du mal et que faire le mal aux gens qui font le mal se faire le bien et que ça n'est jamais faire le mal elle nous fait l'éloge du déroulement de l'action pour autrui de la communication le dis que c'est une création situation plus pour autrui et terracid. Et puis. Cette idée comme ça en passant que plus que l'homme. La liberté l'objectif à attendre et ça c'est extrêmement intéressant c'est une idée qui a l'air comme ça sans importance sauf que vous dites mais finalement si la liberté plus importante que l'homme alors on peut tuer des hommes au nom de la liberté. Parce que c'est la liberté qui prime et si il faut massacrer deux ou trois hommes bien pourquoi pas on retrouve une idée qui est déjà celle des révolutionnaires jacobins qui considèrent à la saint juste que le bonheur est une idée neuve en europe et que quand on dit de teen et bien c'est évidemment pour le bien de ce qu'on guillotine puisque on vise le bien. C'est bien l'existentialisme reprend cette idée-là la liberté justifie tu y compris la destruction de la liberté et voir comment les choses s'enchaînent. Simone de beauvoir écrit pour me faire exister devant les hommes libre je serai obligé souvent de traiter certains hommes comme des objets. La chose dit simone de beauvoir nous dit que pour libérer des hommes il faut parfois objectiver des hommes elle justifie donc le temps venant dans le développement des analyses la violence. L'usage de la violence et de la mise à mort on peut tuer pour réaliser la liberté le crime et alors un humanisme puisqu'il vise la réaction la réalisation de la liberté. Donc on est dans une morale de l'intention gens qui vous dise que le totalitarisme nazi ça n'a pas grand-chose à voir ça n'a rien à voir avec le totalitarisme marxiste-léniniste parce que les intentions étaient bonnes. Avec le goulag et les intentions étaient mauvaises avec un jeu x & co nom des intentions si on juge des intentions puisque on on fait mourir des gens au nom de l'humanité est au nom du prolétariat au nom de bonheur sur terre et bien la fin justifie les moyens justifie le geste aussi et après tu le goulag et défendables mais on peut considérer que effectivement on est dans l'idée pure et que l'idée importe et que les hommes contre pour zéro. Quelqu'un l'existentialisme n'est pas forcément un humanisme simone de beauvoir dit la violence n'est pas un mal puisque on ne peut rien ni pour ni contre un homme tu es un homme ce n'est pas le détruire nous n'atteignant jamais que la facticité d'autrui. Ça veut dire quand vous tuer quelqu'un vous tuer sa facticité voulait pas son essence donc vous ne plaît pas. C'est ce que tu es avec tes gars pour justifier l'extermination des juifs dans les séminaires qui suivent la guerre avec des qui suivent la libération des camps avec des gains nous fais savoir que les juifs n'étant pas capable de d'être des êtres pour la mort on ne tue pas des êtres qui ne sont pas des êtres pour la mort et toute cette philosophie qui consiste à déshumaniser les hommes pour pouvoir mieux justifier quand elle et tu en disant ce sont des bêtes ce sont les gens de couleur n'ont pas d'âme où les gens qui ne sont pas qu'ils n'ont pas cette croyance line ce ne sont pas des humains et cetera ont des d'humanisme où les juifs sont des rats ou les juifs sont des milles et des animaux nuisibles la personne ne va reprocher la destruction des animaux nuisibles est bien quand on assimile des individus a des catégories comme celle du sous-hommes humain et puis on peut détruire le son du matin puisque finalement on n'atteint pas autre chose que la facticité. Oui un peu comment les choses aux agences chez simone de beauvoir nous dit par la violence l'enfant devient homme et la horde de viens également société renoncer à la violence nous dit elle se serait renoncer à toute transcendance ce qui est impossible premier texte virus et 6.