Link Search Menu Expand Document

La fin du philosophe

Il à l'époque dit-on des crises d'étouffement peux imaginer j'en ai parlé avec quelques amis médecin que qu'il s'agissait de symptômes de l'angine de poitrine et la mort ne me fait pas peur puisque la mort pour lui c'est la fin du phénomène et c'est la continuation de la chose en soi c'est dire que le le vouloir que nous sommes ne meurt jamais se vouloir là il continue quand nous sommes mort il continue parce que il va il va féconder la terre dans laquelle nous nous trouvons est la vie va continuer donc le vouloir ne meurt jamais le vouloir est-il mortel en revanche l'incarnation la cher que nous avons été évidemment tout ça ça disparaît donc il y a une espèce d'immortalité qui est assez sécurisante le 21 septembre 1865 gouvernante le retrouve mort sur son canapé il est juste en dessous du portrait de buts il a semble-t-il le visage enfin sera je leur disais qu'il ne craignez pas les vers dans son corps mais qu'il craignait que les philosophes les professeurs d'université fasse un travail pire encore sur son œuvre on tâchera dans les séances qui suivent de ne pas faire il le crédit qu'on ait pu faire sur son travail merci beaucoup.