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Du bon usage de la maladie

La santé du fait défaut il y a ce pire on pourrait considérer d'ailleurs que c'est la clé de sa philosophie du fonctionnement de la philosophie ce qui lui fait défaut il cherche à l'obtenir la maladie de la fille et bien il aime la maladie pour économiser ses forces. Il y a quelque chose d'assez stoïciens dans cette aventure exposition il y a ce qui dépend de nous et ceux qui ne dépend pas de nous deux ce serait ridicule de se battre contre ce qui ne dépend pas de nous serons perd ses forces et il faut économiser ses forces en revanche ce sur quoi nous avons du pouvoir. Et bien l'osi concentrons nos forces ce sur quoi nous avons du pouvoir il vient chez dans cette logique sur stoïcienne à sa manière il considère que ce sur quoi nous n'avons pas le pouvoir c'est le pouvoir de la volonté de puissance en revanche nous avons du pouvoir sur le fait que nous pouvons consentir ou ne pas consentir à cette volonté de puissance même s'ils ne pas consentir c'est encore consenti c'est une espèce de rue de la raison qui nous fait croire qu'on pourrait ne pas vouloir on pourrait se refuser aux injonctions de la volonté de puissance si nous refusons aux injonctions de la volonté de puissance est encore parce que la volonté de puissance nous fait renoncer à ses injonction on n'échappe pas. Donc il ne faut pas se battre inutilement parce qu'on dise perceret des forces du pain utilise-t-on 10 personnes se force il faut contraire concentrer ses forces pour les garder et donc consentir avec volupté. À ce qui nous arrive à ce qu'il advient il y a un bon usage de la maladie et pascal avait écrit une prière sur le bon usage de la maladie est le bon usage de la maladie c'est qu'il faut dépasser la nécessité en y consentants il y a une nécessité tâcher de vouloir cette nécessité et vous aurez au bout du compte de la jubilation de la béatitude de la joie c'est le sens de la mort fatigue ce à quoi nous invite la mort fati s'il nous faut aimer notre destin il nous faut dire oui à tout il ne faut vouloir tout il parle du grand oui à l'existence dans un râteau stra est cette invitation elle est permanente pour cette réflexion connais mon nom sur la souffrance et nietzsche sur le statut de la souffrance et nietzsche il faut 116 garder présent à l'esprit s'était dit qu'il faut dire oui à tout à tout à dire souffrance et bonheur des plaisirs et plaisir bien sûr misère et joie maladie et santé tristesse du bile à sion pas une satisfaction chagrin la graisse dépression ravissement abattement exaltation tous constitue la vie et l'idée que nous pourrions choisir simplement le bonheur le plaisir la joie la santé la jubilation ça n'a pas de sens il fait que bien cette phrase qui est devenu quasiment proverbe bien longtemps parfois chez des gens qui ne savent pas qu'elle vient de nietzsche de fête dans le crépuscule des idoles mais tu nous dis appris à l'école de la vie ce qui ne me tue pas me fortifie vous me rend plus fort ça dépend des traductions donc c'est une. Conclusion distanciel que tu me proposes il a vécu il a vu et il a compris effectivement que on ne pouvait pas faire l'économie de la nécessité et que la nécessité c'était aussi en ce qui concerne surtout la maladie puisque on peut pas économiser ça alors voulons le désir on le pleinement et à ce moment là on se crée liberté c'est ça que tu entends par secret et liberté il nous dit que liberté n'est pas donné. Et quand nous avons compris le sens du tragique la réalité du tragique que nous aimons ce sens du tragique alors nous sommes créé liberté nous avons ouvert un tout petit espace de liberté et cet espace de liberté il est déjà spinoziste c'est déjà la même chose chez spinoza spinoza nous dit aussi dans les tiques. Effectivement la nécessité fait la loi mais qu'il faut vouloir la nécessité et qui fait la loi pour pouvoir obtenir ce qu'ils appellent lui la joie et la béatitude. Il faut être mais ce qui advient parce que l'avènement a lieu dans sa forme la plus puissante que la plus féconde et la plus vraie de la volonté de puissance c'est-à-dire que si la volonté de puissance se manifeste. Elle choisit toujours les femmes les plus exacerber les femmes les plus purs puisqu'elle est pure nécessité et que la nécessité ne peux pas vouloir autre chose que la femme la plus raffinée de la volonté de puissance. La souffrance n'est pas un inconvénient. Ce n'est pas un mal se retrouve dans la logique épicurienne du tétrapharmakon du quadruples le remède puisqu'elle est par-delà le bien et le mal il ne faut pas penser quand on parle de souffrance en terme de bien ou de mal mais en termes de bons ou de mauvais c'est déjà ce que je disais spinoza quand on est au-delà du bien et du mal quand on est pas soucieux de penser en termes de moralité on dit c'est bien ou c'est pas bien c'est mal et bien on est dans l'erreur en revanche il faut penser en termes conséquentialiste la conséquence fait la loi si on doit penser en termes de conséquences il faut penser à la volonté de puissance en est-ce que c'est bon pour la volonté de puissance où est-ce que ça n'est pas bon pour la volonté de puissance si la souffrance est bonne pour la volonté de puissance elle ne pourrai pas être mauvaise puisque c'est une espèce de tautologie la souffrance est une des modalités de la volonté de puissance alors est mon la souffrance. Et moi la souffrance consentons à la souffrance elle est bonne en ce sens car elle nous a guéri elle nous rend plus fort voilà comment on résout le problème du 3e remède de c4 remède épicurien la souffrance existe on ne peut pas en faire l'économie. On ne peut pas l'éviter et les constitutifs de notre être transforme en cette négativité en positivité puisque on a pas le choix de la prendre une pas la prendre et bien ta chambre de l'aimer comme elle est et obtenons d'elle ce qui est le plus susceptible d'être utile à notre progression sur la voie du surhomme ou du sur humain en tant qu'elle nous rend plus fort en tant qu'elle nous fortifie en tant qu'elle nous a guéri en tant qu'elle nous prépare au combat et bien la souffrance est une bonne chose donc il ne s'agit pas de supprimer la souffrance mais au contraire de lait mais c'est une façon de vivre avec et épicure ne le disais la souffrance est supportable. C'est le propre même de la souffrance il nous disait si elle est vraiment d'une ultra-violents d'une extrême violence et bien de toute façon on meurt donc si on est là c'est qu'on est pas mort si on est pas mort c'est que la souffrance peut se supporter c'était la thèse d'épicure voyez que quelques siècles plus tard avec d'autres arguments avec un autre vocabulaire mais dans une semblable perspective ni tu me dis exactement la même chose.