Link Search Menu Expand Document

Le jazz musique de machines

J'en viens au jazz pour en énervé quelques-uns et je me contente de dire ce que évidemment under spanc pense de la musique de jazz on me disant qu'elle est une musique de machine. C'est une musique de machine et elle nous sert de modèle parce que nous voulons devenir des machines. Et c'est la musique idéale dans une période d'auto réification. Le jazz et la musique machinal qui entre dans notre corps c'est citation la musique sur laquelle danse les hommes de la révolution industrielle. C'est un écho lointain nous dit-il au tambour de la forêt vierge au désert ou à la musique naigre c'est la trace de la vie primitive et du désir sexuel impérieux mais c'est surtout la musique des machines elle dit ouvrez les guillemets l'obsession précise d'une presse qui découpe impassible et méticuleuse le glissando de l'animalité en morceaux toujours identique donc le jazz nous dit il se c'est une production de musique d'identique impersonnelle automatique la sexualité se trouve liquide et par la musique de jazz qui nous transforme en machine. Nous devenons des machines le parce que l'énergie animal qui est la nôtre a priori se trouve avec le jazz transformée en énergie mécanique. Anders nous dit que le temps disparaît dans cette musique parce que le jazz ne connais que citation la fureur de la répétition exactement comme les machines la syncope est le principe du jazz et sur le mode de la ritournelle connaissait l'existence du break dans la dans la musique de jazz et bien le break suspends l'orgie nous dit anders et son vocabulaire le break à sommes le danseur qui semble toujours une image de lui victime d'un accident du travail. J'espère que ça vous est arrivé de subir des accidents du travail aussi qui vous laisse dans un état pareil le break permet de mettre hors circuit un individu ce qui prouve que nous sommes bien pièces de machine dans la pratique de la musique de jazz le break sur le point de l'acné de l'union avec la machine c'est le signe même qu'effectivement il s'agit d'une musique de machine qui nous transforme en machine avec le jazz les coups de boutoir de la machine nous pénètre à lhassa blement et chaque mesurer tente une répétition il y a réitération permanente de cette envahissement mécanique et machinique du corps transformé en machine dansé sur cette machine parce qu'on peut pas se contenter de l'écouter mais on peut aussi danser et bien pour le coup c'est faire triompher la machine et actualiser la réputation de son corps. Quand on écoute du jazz quand on danse sur la musique de jazz et bien on travaille à sa propre réunification à sa transformation en choses et en objet on est donc dans la servitude volontaire on se fait l'esclave de soi-même parce qu'on veut devenir une machine c'est une façon d'échapper à l'angoisse de la mort à l'angoisse de la limite ou à l'angoisse de la finitude. Il s'agit donc c'est une expression d'anders de la religion de l'industrie. Il parle de dory dans les boîtes de harlem. Origine on parle sens moral du terme s'agit pas d'une condamnation d'une analyse chez lui donc on est plutôt dans le rythme cardiaque faut penser au faîte dionysiaque au fait bachique dans l'antiquité se dire ce sont des moments où effectivement on sort de soi-même et ça n'a plus grand-chose à voir avec le divertissement citation ce sont des danses sacrificiel extatique ou pour mieux dire des danses sacrificiel extatique dédié au bal de la machine. Les hommes sortent de même donc pour s'unir aux dieux des machines citation c'est le culte industrielle de dionysos. Comment se danse et les hommes perdent leurs visages parce qu'ils sont devenus des machines plus d'expressivité la tête et baisser les visages sont dissimulés impassible inexpressif glace et le visage est devenu citation à un résidu une pièce obsolète on porte ton visage parce qu'on a pas pu le laisser à l'entrée au vestiaire. Un jour de nouvelle honte surgit la honte d'avoir un visage. Nouvelle citation la honte d'être condamné à toujours porter ce stigmate d'individualité comme un legs oublié. Il convient qu'il exagère peut-être et quand on le lit on se dit bon voilà et dans la phrase suivante il dit oui mais quand même tout de même j'ai bien raison sur cette idée que le visage se fasse sur la piste de danse et même chose me dit dans l'art contemporain où on peut constater effectivement une disparition du visage et bien la fin du visage et l'avènement des machines coïncide je vous disais tout à l'heure que j'en claire avait fait un avc commerce de cette idée qui effectivement la disparition du visage était le signe d'une église dans l'art contemporain de fait c'est quoi qu'on en pense il y a une disparition du visage dans la peinture du 20e siècle à paris aujourd'hui mais on peut toujours trouver des contre-exemples sera une musique vous avez bien sûr du picasso début du siècle vous avez francis bacon à la fin du vin du 20e siècle il fait la démonstration que dans d'autres plus plus modeste et moins discret mais qui fait la démonstration que le visage n'a pas toujours disparu il revient je vous disais qu'il passait parfois d'un sujet l'autre que il s'étonne qu'on puisse prendre le jazz pour une musique sérieuse. Trouve qu'elle est trop peu sérieuse pour être exécuté dans une salle de concert il estime que la musique classique elle épargne le centre de l'auditeur l'épicentre de l'auditeur j'ai aussi trouvé effectivement que sur ce sujet il est à côté de la plaque mais pas le jazz qui lui modifier en profondeur l'ethos de façon durable est toxique c'est-à-dire qu'il y aurait une espèce de sauvagerie du jazz qui sont pas aurait de vous de nous et il nous transformerait en machine illico presto alors que la musique classique laisserai un dm ou intacte l'individu qui est coûterait le concert de musique classique. Quand il danse l'homme dit qu'il ne veux pas mourir et il devient une machine c'est l'analyse bien sûr de günther anders une fois encore il nous dit qu'il exagère et puis quand il dit qu'il exagère il nous dit que peut-être il exagère pas tant que ça et on ne sait pas s'il y a l'ironie fâcherie colère ou invitation comme il nous le dit à pratiquer une méthode particulière pour que nous puissions réfléchir si on ne grossit pas les choses elles restent imperceptible c'est une façon pour lui de grossir les choses pour que nous puissions penser cette musique là comme il faudrait la pensée peut-être faut-il à penser autrement du moins c'est une façon de la de la pensée.