Link Search Menu Expand Document

La tolerance repressive

Bonsoir merci d'être là pour cette nouvelle séance consacrée à marcuse. Une relation que marcus entretenait avec la la violence. 2 sujets extrêmement intéressant la violence parce que dans l'histoire de la philosophie occidentale. Les largement plébiscité s'il vous plaît et une histoire de la non-violence en philosophie vous trouverez assez peu de choses. Très petit laws of finalement on fait le pari de la non-violence si on considérait que la raison devait faire le travail et que on devait renoncer à la violence à la brutalité dans l'histoire de la philosophie je dirais de platon jusqu'à sartre disons personne. Ne prends le pari de la non-violence a priori personne très peu. Donc je voudrais examiner avec vous un texte de marcus qui était assez sidérant. Peux-tu une critique de la tolérance un éloge de l'intolérance. Mais très clair très net. Quand on est dans une logique dialectique et que nous explique que il faut penser en terme dialectique. Alors tu t'es justifiable tu te défends dame puisque la négativité elle prend sa place dans une perspective et le moment de négativité n'est jamais qu'un moment dans un mouvement c'est important c'est le mouvement est vert quoi ce mouvement conduit. Donc la violence et les justifiable en fonction des fins qu'elle se propose pour tous et théoricien de la violence donc il y a pas une violence dans l'absolu il y aura donc des bonnes violence et des mauvaises lance la bonne violence c'est celle qui permet la liberté la libération la victoire du du prolétariat l'abolition du capital et du salariat exetera exetera et puis la mauvaise violence et celle qui rend possible les choses comme elles sont et c'est la violence qui permet au capitalisme de persévérer dans son être. Donc nous allons examiner les tests de ce de cet ouvrage la tolérance répressive qui était un texte de 1965. À l'époque marcus de professeur à l'université de californie et il intègre ce texte dans un collectif il y a plusieurs personnes qui interviennent dans ce collectif et le collectif. S'intitule critique de la tolérance pure il s'agit donc de critiquer la tolérance dans l'absolu. Et de faire l'éloge de l'intolérance. Il y a une vie dans que ce titre renvoie à la critique de la raison pure pour une raison bien simple c'est que il s'agirait d'une espèce de tolérance transcendantale ont toléré dans l'absolu. Et marcus nous dînons la tolérance suppose quelque chose on tolère quoi. Un objet en polaire une chose on peut les quelque chose donc c'est à partir de l'objet de la tolérance qu'il faut penser la tolérance et il ne faut pas penser la tolérance comme un pur objet comme un concept comme quelque chose qui relèverait du transcendantal donc c'est critique de la tolérance pure c'est un clin d'œil au titre de quand que tu de la raison pure qu'y a-t-il de la raison qui pratique critique du jugement de goût. À la demande de la faculté de juger c'est donc un clin d'œil maintenant c'est une façon de dire qu'il faut en finir avec le kantisme. Avec le transcendantalisme et promouvoir une autre façon de penser qu'on appelle par ailleurs le conséquentialisme le conséquentialisme suppose qu'une chose n'est pas bonne en soi mais en fonction des résultats qu'elle obtiendra. Le conséquentialiste et celui qui nous dit que on peut utiliser la violence pour réaliser une société sans violence on peut utiliser la guerre pour abolir la guerre donc marcus va défendre cette violence révolutionnaire eva accablé la démocratie en lui disant que c'est la démocratie qui est violente. C'est la violence démocratique y elle est indéfendable et qui est partout il manifeste dans cet ouvrage la tendresse pour castro et pour mao. 1965 fidel castro arrive au pouvoir 1959 donc c'est récent n'est pas encore l'occasion de juger plus bas et le castrisme mais c'est quand même c'est quand même plus anciens on a la possibilité à l'époque de savoir ce qui se passe dans la chine maoïste et marcus nous dit que ces deux-là ont contribué au progrès de la civilisation progrès de la civilisation. Tu te dis s'il s'agit du progrès de la civilisation alors effectivement peut justifier un certain nombre de choses et quand on dira à jean-paul sartre que tu te mets mon fusil de beaucoup j'ai castro et bien simone de beauvoir en rajoutant disant oui alors et un petit peu plus tard ça tu me diras que on a pas assez décapité en 1793 et si on avait bien décapité ce qu'il aurait fallu décapité à l'époque peut-être n'en serions nous pas là où nous en étions c'est-à-dire dans les années 50 dans la france des années 50. De manière assez singulier je travaille sur don quichotte tout de suite sur la question du dernier de la dénégation ça c'est drôle de voir des gens qui sont lucide sur le fonctionnement des autres mais pas à lucide sur leur propre au fonctionnement c'est l'histoire de la paille de la poudre c'est-à-dire que il est capable marcus de cité orwell sur la perversion du langage est-ce que singulier c'est qu'il y aura cette même personne du langage chez marcus qui n'en sera pas conscient en régime totalitaire nous dire well on utilise toujours un mot pour dire le contraire. Et de fait quand on prépare la guerre et qu'on fait la guerre on parle toujours de la paix. C'est parce que on veut la paix qu'on fait la guerre et on n'utilise pas les moyens pacifique pour réaliser la paix on utilise les moyens violent pour abolir la violence c'est donc une étrange perversion nous dit marcus et il a bien raison mais il pourrait aussi placer son analyse sur la tolérance ou contre la tolérance sous le signe de rouelles. Il cite marcuse la préface damnés de la terre qui est un livre de france m'annonce une préface de sartre. Dans laquelle on peut lire ceci sartre écrit il faut tuer. Abattre un européen se faire d'une pierre deux coups supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé reste un homme mort et un homme libre. Dans cette préface que sartre par se parle de la patience du couteau. Journaux disant que il faut justifier bien sur les égorgement les attentats les bombes puisque les égorgement sont faits pour abolir les égorgement les bombes sont faits pour abolir les bombes et les violences on fait pour abolir la violence.