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La vertu par la terreur

Cette vertu telle que nous la nous la propose elle est évidemment extrêmement conceptuel. Même si elle n'a pas l'allure conceptuel le concept art en avance pas masqué chez rousseau il avance masqué parce qu'il est enveloppé par des considérations extrêmement romantique cependant le peuple chez rousseau c'est plus un concept qu'une réalité la vertu c'est moins un idéal moral qu'un objectif idéologique. Le monde que rousseau déteste il veut l'abolir au profit d'un autre monde qui serait le monde de l'austérité qui sera mon de purifier ça ce sont des idées de philosophes c'est extrêmement intéressant c'est sur le papier mais un jour ces idées de philosophe vont inspirer robespierre et quelques autres qui vont prendre à la lettre les propositions de rousseau pas dans le vide c'est l'intérêt particulier la vertu c'est l'intérêt général il faut donc renoncer à sa liberté liberté à sa liberté personnel au profit d'une liberté civique. Et la liberté civique se définit par la loi. La liberté nous dit-il c'est l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite. Donc la liberté n'est pas libertaire la liberté et les que produit une volonté générale cette volonté générale décide d'une loi et quand on obéit à la loi on est libre c'est-à-dire que la liberté c'est l'obéissance. Il faut en finir avec l'égoïsme l'individualisme la subjectivité la pitié la compassion deviennent des moteurs chez rousseau. Piqué et compassion accompagne la volonté générale et on voit bien. Comment on en arrive à cette lecture extrêmement simpliste du monde hannah arendt il faudrait avoir pitié et compassion pour un peuple exploité par des aristocrates qui ont confisqué les propriétés de son propriétaire de la négativité. Il faudrait abolir un règne qui établit la négativité idée de philosophes qui deviennent évidemment des idées politiques sous la plume de robespierre puis ensuite dans les décisions que robespierre prendra concrètement pendant la révolution française.