Penser sous le manteau (Introduction 2e partie)

Bonsoir merci d'être là pour cette deuxième séance de notre 4e année. Me consacrer encore ce soir introduire un petit peu l'année la totalité de l'année consacré comme vous le savez aux ultra les lumières. Je vous ai dit la dernière fois comment le 18e siècle était polymorphe multiples on y voyait pas mal d'escrocs de la philosophie de frein de log de et quelques autres choses qui font la démonstration que le 18e siècle univoque c'est évidemment une création a posteriori c'est l'historiographie qui fabrique un 18e siècle homogène préparant la révolution française alors est bien évident que tout ce qui prépare qui donne l'impression de préparer la révolution française en garde et tout ce qui ne donne pas cette impression supprime. Je vous disais que l'écriture de l'histoire fabriquée l'histoire au pistorio graphie c'était une affaire d'écriture de l'histoire nous allons continuer à progresser dans ce 18e siècle pour tâcher de voir ce qu'ils étaient véritablement donc je voudrais vous dire ce que sont ces ultra des lumières et aborder avec vous ce soir la question de la pensée sous le manteau comme on dit il y a une partie émergée puis une partie immergée dans cette affaire puisque on connaît les salons il y a des ouvrages consacré au salon chez versus par exemple à jolie madame helvétius tiens salon chez tôle bac aussi il y a des salons et dans ces endroits demain on pense. Ça carbure plus tôt il y a des génies je dirais toutou lagarde et michard se trouve dans un même espace dans un même endroit où on discute d'économie de politique de religion et puis une partie qu'on connait moins bien mais c'est une partie tout de même si je suppose qu'on pense en dehors des salons et ce sont les manuscrits clandestins qui nous permettent de savoir ce qu'il en est pour lui dire que la rue pense même si le concept est un petit peu rapide mais la rue pense ce sont les idées de l'air du temps. Ce sont les historiens qui nous permettent à nous les philosophes un petit peu plus tard de disposer la matériaux c'est intéressant de voir ce que sont les listes de best-sellers à l'époque ce qui se vend ce qui se vend le mieux ce sur quoi on se précipite et puis les ouvrages qu'on ne le dis pas non plus enfin l'esprit de l'époque ce sont les historiens et qui contribue un le désigner le dessiner et on y va un certain nombre de choses intéressantes parce que c'est la minuterie clandestin il existe ils font circuler les idées il suppose que évidemment il y a des discussions les concernant dans des salons du paiement d'un parisien mais que très probablement aussi dans la province chez un certain nombre de érudit voit chez certains curé chez certains individus qui savent lire qui peut acheter un livre combien ça coûte un livre ce qu'est le pouvoir d'achat à l'époque de quelqu'un de modeste les livres reste tout de même assez inabordable il y a des occasions avec le manuscrit clandestin ou avec la lettre qui circule et la rive on la copie on la recopie on se passe on se la lis les uns les autres et puis on dit voilà comment il faut aussi compter avec cet espace privé je dirais pour voir comment la réflexion se s'effectue des semaines au 18e siècle.