Peur du plaisir, peur de la liberte

La peur du plaisir vin de père avec la peur de la liberté ou dire âge et c'est à partir de ce moment-là qu'arrive le personnage d'hitler l'analyse du clerc de la montée du national-socialisme de la construction du national-socialisme il essaie de répondre à cette question pourquoi des ouvriers qui a priori non aucun intérêt au national-socialisme qui est une aventure de la grande bourgeoisie du capital et cetera pourquoi est-ce que des ouvriers souscrivent. Un dictateur qui va le rendre la vie impossible est bien clair il arrive et il capte à son profit se sont qu'ils sont construits par la religion l'étain la morale l'école l'université l'usine l'atelier le capitalisme et cetera il n'y a pas chez hitler nous dira. Le discours raisonnable rationnel il n'y a pas d'argumentation il n'y a pas de rhétorique il n'y a pas de discours il y a pas de l'enseignement logique chez hitler parce qu'il s'adresse aux couches les plus profondes de l'individu non pas aux couches supérieures rationnel ne s'adresse pas l'intelligence de ces sujets mais il s'adresse à la couche des impulsions cruelle sadique lubrique cupide en vieux tout ce qui est le refoulé le dictateur et celui qui s'adresse directement à l'émotion des individus est simplement question de toucher là où ça fait mal de saisir là où ça fait mal et ça fait mal là où il y a du refoulement. Rach reprend la théorie freudienne une partie de la théorie freudienne concernant le dictateur comme un père castrateur. Comme un père castrateur c'est un pléonasme que vous savez chez freud et il pense en revient plutôt orthodoxe cette fois-ci que le père c'est celui qui est capable d'être dans la logique hypnotique à l'endroit de ces sujets comme un endroit de rangement cd real infantilise son peuple parce qu'il est la loi et il est la loi donc lui obéis on a la crainte de ce qui peut être venir si on ne lui obéit pas et cette crainte là elle est en relation avec la castration. Donc le dictateur c'est un père castrateur qui menace s'il ne le fait pas ouvertement directement il renvoie en ou à cette menace de la castration. Il joue la répression sexuel comme jadis le père a joué la répression sexuelle le dictateur nous parle et il parle en ou à la part à laquelle s'adresser le père jadis éduqué à la peur de la liberté nous avons connu plus ou moins dans les parents par la famille par le milieu par l'époque et cetera et bien l'adulte de jouy d'être débarrassée de cette angoisse qui la liberté la liberté c'est pouvoir choisir c'est donc devoir choisir et c'est savoir que si l'on choisit pas on choisit encore connaissez l'histoire de l'âne de buridan qui a soif et est affamé meurs de vente de la nourriture et de l'eau simplement parce qu'il n'a pas reçu décider parce qu'il se décider ne pas se décider c'est décidé encore. Dans la dictature vous n'avez plus à choisir vous n'avez plus à vous engager pour ceci contre cela si vous n'avez plus à trancher il vous suffit d'obéir les angoisses disparaissent. Le dictateur est celui qui libère les angoisses parce qu'il pense pour vous parce qu'il réfléchit pour vous parce qu'il vous dispense de liberté en plus à m'en donner à celui-ci le dictateur et trouver une jouissance justement parce qu'on aura vu nos angoisses disparaître de ce fait l'identification à ce personnage permettre une jouissance on n'est rien il est tout en s'identifiant celui qui est tout on devient quelque chose mais c'est la grande imposture du fascisme nous dire âge parce que on se croit tout alors qu'on est rien et c'est vraiment le dictateur qui lui et tout.