Le capitalisme, un servitude volontaire

Le capitalisme est une servitude volontaire. Expression n'y est pas mais j'utilise cette expression de de la boétie qui comme vous le savez mon grand aéroport lithique c'est c'est c'est l'homme qui écrit l'ami de montagne qui écrit en plein 16e siècle que il n'y a de pouvoir que parce que nous dit qu'on s'entend. Le tyran n'existe que parce que vous lui donnez votre assentiment votre consentement cessé de soutenir le tirant il s'effondre de lui-même donc il y a effectivement dans le capitalisme une modalité qui relève de la servitude volontaire cette servitude volontaire elle fait que nous acceptons le capitalisme nous consentons si nous voulons faire disparaître le capitalisme il nous suffit d'abord de savoir ce qu'il est ensuite d'être critiqué pour finir de ne pas donner dans les pièges qui qui nous temps. Il nous dit le capitalisme habituellement que il est le défenseur de la liberté économique des libertés diverses en liberté économique liberté politique liberté intellectuel liberté véritable et cetera marcus il examine chacun de ses points en liberté économique. Il n'y a pas de liberté économique pour marcus tant que les individus ne sont pas libéré des contraintes de l'économie dans leur vie quotidienne. C'est la thèse qu'on trouve déjà chez henri lefebvre c'est la vie quotidienne qui est le lieu sur lequel tout se passe et l'économie elle produit des effets dans la vie quotidienne. Qu'est-ce que vous mangez quelle est la surface de votre. De votre appartement quel est votre salaire quel est votre la puissance de votre voiture quel est votre consommation d'électricité voilà toutes les questions qu'on peut poser à quelqu'un pour voir les effets que produit l'économie dans sa vie quotidienne et on voit bien que la la majorité a des difficultés pour vivre pour se loger pour manger pour habiller ses enfants pour payer des études pour payer sa santé ou ce genre de chose et marcus guzzi le liberté économique ce n'est pas le pouvoir de créer son entreprise c'est le pouvoir d'échapper à une économie qui vous alien qui vous enchaîne qui vous rend la vie impossible la liberté politique on vous dit mais la liberté politique c'est la possibilité de penser ce qu'on veut comme on veut de penser à droite de penser à gauche de penser à l'extrême droite ou de penser à à l'extrême gauche marcus nous dit la liberté politique et il n'existerait que si l'autogestion devenu possible il n'y a de liberté que dans la mesure où on peut abolir le régime auquel on reproche sa brutalité où ça le régime capitaliste est violent il est brutal il faut réaliser l'autogestion. Dont je vous rappelle c'était la comtesse aussi de henri lefebvre que elle est ton cœur même du texte de marx. Les textes de des manuscrits de 1844. Qui vous voyez depuis le début depuis qu'on parle de lefebvre marcus je vous verrai avec de bord evan et game c'est le marque des manuscrits de 1844 qui qui est le marque des intellectuels c'était pour faire du monde et intellectuelles dont je vous parle liberté intellectuelle et s'il y a vraiment de la liberté intellectuelle marcus dit pas du tout. Nous sommes dans une logique d'endoctrinement et notre conscience et formater nous ne pensons pas librement ce que nous pensons ce que nous profession ne procède pas forcément d'une analyse critique libre autonome et indépendante ce que nous disons la plupart du temps procède une propagande la publicité il est critique de la publicité et extrêmement sévère chez un marcus qui n'a qui n'a presque rien vu je dirais par rapport à ce que aujourd'hui les moyens de communication de masse sont des occasions dans doctrine et les individus et de produire des consciences qui ne sont pas libre. On parle de liberté en l'air aussi on lui dit mais la liberté liberté de souci liberté de cela et marcus nous dit mais il n'y a de liberté véritable et concrètes qu'à partir du moment où chacun peut satisfaire ses besoins matériels intellectuel et spirituel. Est-ce qu'on est libre quand on quand on a pas d'argent parce qu'on est libre quand on a pas de foyer est-ce qu on est libre quand on a pas de santé et qu'on peut pas payer sa santé ce qu'on est libre quand on a pas les moyens de payer les études de ses enfants est-ce qu'on peut encore parler liberté dans l'absolu oui mais vous c'est la critique que je faisais à sare que c'est la critique que font également lefebvre et quelques autres à à sarthe camille aussi c'est que ça fait l'éloge d'une liberté ontologique bien sûr dans l'absolu on a la liberté de d'exister de créer son entreprise si on est pauvre devenir riche si on est défavorisée ou non on a la liberté de recouvrer la santé si on est malade mais on sait bien que ça se passe pas comme ça que la liberté anthologie quel est le total mais que la liberté anthologique elle n'existe pas donc effectivement les choses ne sont pas hein si ça dure une libération à l'endroit de l'économie capitaliste l'idée que nous pourrions réaliser une conscience qui serait libre libérer de l'endoctrinement de masse ou la possibilité de satisfaire nos besoins matériels intellectuel et spirituel tant que ça n'est pas il n'y a pas de liberté mais il y a totalitarisme. Marcuse reviens là-dessus le totalitarisme c'est ça si cette idée qu'on vous parle en permanence de liberté formelle c'est le vocabulaire que tu dises les communistes un peu plus tard mais que finalement il y a pas de il y a donc un grand écart entre cette liberté formelle et cette liberté réel et quand il y a un écart aussi grand on peut parler de totalitarisme.