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La question sociale

Et si ces choses-là ont lieu c'est-à-dire si les révolutionnaires n'ont pas été capable de créer une forme de gouvernement c'est parce que nous dit elle ils ont les révolutionnaires français aborder la question sociale d'une certaine manière. Et on verra que elle élabore d'une manière très différentes aussi c'est-à-dire que elle nous dit que les néo-marxiste ceux qui prendront la révolution française comme modèle on considérait que il fallait prendre en considération les conditions économiques la lutte des classes le mode de production des richesses l'état d'avancement du capitalisme le rôle moteur des masques qui ferait l'histoire et lui voilà pourquoi les révolutions se sont trompés parce que elles ont eu un regard qui était essentiellement historique. Économique et qui n'a pas pris en considération ce qu'il faudrait prendre en considération c'est-à-dire les passions. C'est donc effectivement une manière très différente d'aborder la révolution française que la manière 19e east voir 20e east à dire que on considère qu'il y a des conditions dans l'histoire on va chercher les conditions d'histoire en fait une lecture néo-marxiste voir marxiste et elle me dit pas du tout aller voir du côté des passions. En ce sens c'est grand mettre son moins je reste par exemple ou michelet que tu n qui lui écrit elle ne suis pas mais qui écrit dans le mode histoire de la france contemporaine passage terrible sur la révolution française comme produit du ressentiment produit de multiples son la pitié la compassion la rancune l'art en cœur la haine l'envie la jalousie et terre. Le procès de pas comme ça on trouve que c'est trop bas d'aller chercher des raisons psychologique au comportement des grands hommes on ne veux pas savoir à quoi ressemblait l'enfance de robespierre tu qui refuse justifier par la suite une passion pour rousseau puis par la suite. La passion pour la vertu assimilé à la terreur on ne veux pas aller voir comment les choses fonctionnent sur le terrain de la de la psychologie ou des passions hannah arendt les installe sur le terrain des patients se sent ça ne fait pas travail de l'historien au sens classique du terme puisque les historiens veulent des passionnés les débats veulent que leur lecture soit toujours objective scientifique rigoureuse appuyer sur les documents comme si choisir un document et lire un document préféré un document peux pas tous les citer ça n'était pas déjà proposé une subjectivité elle est propose clairement de subjectivité en nous disant faisons de la psychologie et tâchons de voir ce qu'ils ont été ce qu'on était le les motifs psychologique des comportements des hommes de la révolution française. Elle renvoie à rousseau et aux analyses que rousseau fait en nous disant que vous il travaille sur un lit dès qu'il se fait de l'homme mais pas sur la réalité de l'homme. Rousseau il nous dit d'ailleurs immédiatement avec carton laissé peux pas je démarre son discours en écartant les fait alors qu'on devrait dire mais pourquoi écarter les fait c'est justement de ce côté-là qu'il faut aller voir plus tôt et fait autre chose et il nous dit à l'envers du côté de l'hypothèse. Et rousseau dit et carton l'effet je pose l'hypothèse d'un homme naturellement bon. Début de la catastrophe nous dit hannah arendt d'imaginer que l'homme est naturellement bon. Et que la société de rendu mauvais et qu'il suffirait donc de changer la société pour restaurer un homme bon pour retrouver un homme bon c'est une catastrophe de croire une chose pareille chez un intellectuel douche et un philosophe mais c'est une pire catastrophe quand un homme comme robespierre s'empare de cette idée du philosophe pour conduire c'est penser son action et son et son gouvernement révolutionnaire il faut nous dit elle ne pas compter avec les hommes tel qu'il est qui sont imaginer ou penser hypothétiquement part au sommet tels qu'ils sont réellement véritablement avec leur a fait et avec leur passion. Si les hommes nous dit elle descend dans la rue en 1789 ça n'est pas parce qu'ils ont lu le contrat social ou l'encyclopédie de diderot et d'alembert ou parce que il aurait eu l'esprit des lois ou parce qu'ils auraient compris que le temps était venu de la révolution parce que quelques livres les horaires conduit à cet endroit c'est la fin qui les a fait descendre dans la rue. Ils ont faim et il faut penser la pauvreté non pas comme un concept. Non pas comme une idée mais comme une réalité ça n'est pas une catégorie économique ou politique la fin mais c'est une catégorie psychologique c'est ainsi qu'elle pense la fin. La pauvreté une dit elle elle a vu les hommes et les femmes bien sûr la pauvreté à villy parce qu'elle impose au corps concret la brutalité de la nécessité. Quand on est pauvre, distingue pauvreté et misère on verra tout à l'heure mais quand on est pauvre et bien tout est difficile manger boire dormir se protéger des intempéries tu t'es problématique. Et on met estime le rôle moteur de ce genre de passion dans le déclenchement des révolutions. Plutôt que d'aller voir à quoi ressemble le moteur de l'histoire les masques qui font l'histoire ou plutôt que d'aller voir du côté de la lutte des classes et bien elle nous dit voyons plutôt du côté de ses passions alors. Une audi la réduction à la nécessité. À quoi contre la faim produit des enragés aux deux sens du terme donc les enragés aussi que tout un chacun connaît. Des gens qui ont la rage qui veut se battre qui veulent qui sont dans leur sentiment la violence agressivité et cetera et puis les enragés avec une majuscule on a nommé ainsi dans la révolution française et qui représente. Pourra dire une aile gauche ou l'ultra-gauche. Et en arrêt tu me dis ils ont joué un rôle majeur s'est engagé dans la révolution française connais pas forcément leur nom jacqueroux d'olivier et cetera c'est pas qu'ils sont mais on sait qu'ils ont existé ils sont des anonymes ils ne sont pas des théoriciens ils ne sont pas forcément des penseurs même si il y a des textes bien sûr mais ce sont les gens qui en tant qu'ils ont été des ultras on conduit la révolution française à son point de rupture. Ce sont des gens qui n'ont pas penser en termes de liberté mais en termes d'égalité. Ils ont voulu une égalité violente et brutal et ils ont tout fait pour que l'égalité lieu y compris au détriment de la liberté ce sont ces gens-là qui sont arrivés au pouvoir où se font du mal de ces gens-là qui sont arrivés au pouvoir porter par des gens qui voulait effectivement avoir le soutien et l'assentiment du peuple. C'est une citation ce furent la nécessité les besoins pressants du peuple qui dégénère la terreur et moner la révolution à sa perte. L'historiographie dominante. À l'époque marxiste. Allume lecture de la terreur qu'une évidemment pas celle-là la terreur elle est rendue nécessaire par les difficultés de politique intérieure et par le fait que les armées de la monarchie aurait été aux portes de la france et aurait aurait menacé la guerre comme si le fait de déclencher une guerre civile en france je pouvais être l'occasion de d'éviter une guerre que les monarchies aurait pu conduire au gouvernement révolutionnaire toujours été très étonné que on puisse considérer que la guerre civile puisse être un bon remède pour lutter contre une menace de réaliser une guerre civile ici et maintenant pour éviter la guerre qui si vraiment les monarchies il l'avait voulu aurait été rendu à d'autant plus facile par la terreur qui a décapité des milliers de gens à cette époque a des centaines de gens à cette époque-là la liberté du capituler face à la nécessité.