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Une critique de la psychologie abstraite

Bonsoir merci d'être là pour cette 4e et et dernière séance. Consacrer à politzer. Je voudrais consacre une première partie à la critique que politzer fait de la psychologie abstraite. Qui connaît très bien ça aussi c'est un motif d'étonnement chez moi de voir commence le jeune homme. Ce qu'il a lu ce qu'il a saisi ce qu'il a compris les intuitions qui étaient les siennes quand il aborder des petits textes il était capable de lire ce que freud faisait paraître au moment dans des revues donc il se tenait vraiment très au courant et comprenait très bien ce qu'il y avait à comprendre il y aller directement. Au noyau dur de ce qu'il fallait saisir il fera casser ce noyau dur pour expliquer toute la dangerosité de tel ou de tel donc il fait une critique de la psychanalyse on l'a déjà vu dans la dernière séance quel reproche il pouvait faire à la psychanalyse. Et là ils ont fait une majeure critique majeure puisqu'il nous dit la psychanalyse n'est pas une science. Et vous savez que c'est l'une des théories de freud présenté. La mythologie comme une science comme science avec une valeur universelle des complexe de dip ce serait quelque chose de sûre de certains tout comme la terre est ronde et qu'elle tourne sur elle-même autour du soleil et bien vous auriez le complexe de dip eu exactement de la même manière que nous des cendrillon d'une certaine variété de singe et bien essaie de le dire la petite anaïs ne cesse de le dire et politzer dit très vite et très tôt ça n'est pas une science. C'est une littérature souvenez-vous il dit c'est un roman ça renvoie littérature ça renvoie une mythologie ça renvoie un vieux fonds littéraire tout ce qu'on voudra de ce côté-là bien sur cette culture mais il n'avait pas disais politzer la culture scientifique qui lui aurait permis de faire de la psychanalyse une science il écrit dans la fin de psychanalyse octobre décembre 1939 dans la revue de la pensée. La mort de sigmund freud replace devant notre esprit la psychanalyse qui en fait appartient déjà au passé. La psychanalyse appartient au passé en 1939. C'est au moment même où freud meurt que politzer nous dit la psychanalyse appartient déjà au passé. Et nous le dis parce que souvenez-vous je l'ai dit la dernière fois elle appartient au passé parce qu'elle se cristalliser dans un internat le présent elle n'a pas été dialectique. Elle n'a pas évolué elle s'est enfermé dans la parole d'un individu solitaire qui n'a pas accepté qu'on ne pense pas comme lui et qu'elle considérait capitaliste et et lui il a fait main basse sur une discipline qui était collective il y a un intellectuel collectif et vous verrez politzer à spirale intellectuel collectif pour sa psychologie concrète. Ça n'a pas beaucoup été dit qu'il a voulu travailler collectivement il voulait un intellectuel collectif. Et c'est par défaut d'intellectuels collectif que indépendamment du dernier avec que la psychologie concrète n'ira pas plus loin mais il a bien vu effectivement que freud avait confisqué une aventure qui était collective il savait qu'il y avait dans la collectivité un génie qu'il n'y a jamais dans l'individualité tout seul. Il nous dit à lisa beaucoup annonce et elle a très peu tenue elle a dit qu'elle soigne et qu'elle guérirai quel soignerai qu'elle dirait elle a dit ensuite quel soigner avec elle guérissait et il met en cause politzer les résultats obtenus coup de génie encore c'est depuis que quelques historiens de la psychanalyse ont commencé à travailler sur ce sujet là qu'on a eu effectivement que fred a inventé des cas. Bricoler une clinique qu'il n'avait pas prétendu qu'il a vu un certain nombre de patients sur lesquels il avait pu travailler avant de parvenir à un nombre de certitude du permettant de dire définitivement que il s'agissait ici par exemple pour le complexe de dip d'une vérité universelle ne pouvais pas savoir politzer personne n'avait plus encore travailler là-dessus mais il a pressenti. Il a vu que qu'il fallait quand même regarder de plus près la clinique freudienne pour essayer de voir ce qu'elle avait été véritablement une audi sa méthode est très éclectique et de fait il a raison et là encore il faut sa culture et son intelligence à dire qu'il faut savoir ce qui se fait à l'époque en terme de psychologie de psychiatrie ou même de science pour voir que je n'arrête pas de récupérer son immense patchwork le travail de freud et si les historiens travaillent sur la généalogie de son propos il découvre nombre de lecture considérable et puis il nous dit politzer il n'a jamais pu réussir à obtenir une méthode vraiment sûre et certaine et vraiment scientifique on n'a jamais pu établir les fais de manière scientifique en ce qui concerne telle ou telle cas présenté par froide comme un joli roman bien ficelé. Il aurait fallu une méthode vraiment scientifique et je vous ai fait savoir qu'il était lecteur de bachelard et bachelard est l'un des grands épistémologique du 20e siècle et c'est un épistémologie que l'épistémologie aussi te dire c'est quelqu'un qui fait la science de ta science qui fait pas seulement l'histoire des sciences mais qui se demande comment on peut constituer une vérité et commander vérité se constitue au travers des siècles et bien la psychanalyse elle pourrait être examinée à la lueur de cette épistémologie la gardienne est poliziano dit il faut poser des hypothèses il faut expérimenté il faut valider les hypothèses il faut éventuellement les falsifier pour voir quels sont les endroits qui pêche avant d'obtenir une l'universalisation possible peux pas dire comme quoi je le fais je regarde dans mon inconscient je fais une espèce de introspection personnelle je découvre que j'ai désiré ma couplet avec ma propre mère et je conçois que cette affaire soit une affaire universelle et bien j'ai un fer à partir de ma propre décision que le complexe de dip est universel. Et politzer constate qu'effectivement tout ça manque quand même sérieusement de méthode.