Conclusion, pt. 1

Dernière dernière réflexion sur ce qu'il appelle les idéologies émiettés et la mentalité utopique. Il nous dit jean-pierre le goff que tout ce qui prétend de vouloir ouvertement la liberté la discussion le débat était terrasson des gens qui le refuse. Récemment vous avez probablement entendu que marcel gauchet qui avait été invité à blois pour faire une conférence sur sur la rébellion et se trouvait insulté dans la presse libération l'occurrence sous prétexte que et il ne serait pas un rebelle estampillé ou un rebelle légitime. Comme si pour bien parler du cancer il fallait être cancéreux comme si pour bien parler de la prostitution ça va être une prostituée on a le droit quand c'est comme c'est le cas de marcel gauchet de marcel de marcel gauchet mais je pense qu'il vaut mieux quelqu'un qui analyse intelligemment la question de la révolte même s'il est pas allumé ma révolte et qui ne sera pas dire deux phrases où faire de phrases et bourdieu. Qui reste un personnage majeur macif pour moi et pour ma conception du monde est ma conception des choses au nom de bourdieu on pouvait interdire à quelqu'un de penser la rébellion sous prétexte tu n'étais pas rebelle dans les formes infligées par le politiquement correct il me disait que la rébellion c'était si c'était cela ça ne pouvait pas être marcel gauchet qui écrit dans le débat qui publie chez gallimard ou et cetera et cetera il faut écouter marcel gauchet débattre avec marcel gauchet être d'accord ou pas d'accord en respectant les idées de marcel gauchet en les critiques en au sens noble du terme c'est quand les examinons est pas on les insultes en même chose avec les autres penseurs quel qu'il soit. Conclusion de jean-pierre le goff il nous dit. Ce gauchisme culturel veux je veux produire une société nouvelle avec un homme nouveau. Et de fait lison gros lison. Orwell c'est effectivement un danger majeur me semble-t-il et il n'a pas tort jean-pierre le goff de d'écrire ceci il dit. Une société voilà ce que je voudrais le gaucher de mes culturel une société enfin débarrassé des scories du pas se réconcilier est devenu transparente à elle-même un monde délivrer du tragique de l'histoire un monde sans frontière sans haine sans violence et sans guerre pacifier et fraternelle par le souci de la planète du plaisir et du bien-être de chacun à l'échelle individuel cet imagine imagine r et celui d'un être indifférencié à naître sans dilemme et sans contradiction débarrasser de ses pulsions agressive bien dans sa tête et dans son corps c'est en réconcilier avec lui même avec les autres et avec la nature et qui puisait autonome et citoyen actif de la maternelle jusqu'à son dernier souffle citoyen du monde et éco-citoyens le sais ce que le gauchisme et culturel veut imposer ici et maintenant. À demain au plus tard mais ici et maintenant parler moyen qu'il signale. Les autres séance seront consacré à voir ce qui a nourri ce gauchisme et culturel à partir de là près de 68 c'est-à-dire les travaux de vincennes et de ce qu'il faisait vincennes scherer deleuze foucault et cetera les pensées du structuralisme ce qu'on était les penseurs du structuralisme. Les parts les les deleuze les foucault les claude lévi-strauss exetera ensuite c'est que les nouveaux les nouveaux philosophes ont fait aussi pour achever la gauche. Ces façons de dire la gauche et le marxisme martine c'est le goulag donc la gauche j'ai terminé un peu plus être de gauche donc soyons libéraux c'était la thèse de bernard-henri lévy dans la barbarie à visage humain donc les quelques séances qui suivront seront consacré justement à voir qu'elle pensait au pluriel on rend du possible ce gauchisme culturel et surtout ceux qui sont contre lequel s'opposeront ce dont je vous ferai les loges c'est-à-dire misrahi jankélévitch et mikel dufrenne de jean-pierre le goff il est pas encore à ma connaissance mais intégrée dans un volume qu'il aurait fait paraître depuis. Je m'appelle son titre du gauchisme culturel de ses avatars le publier dans la revue le débat en septembre octobre 2013 jean-pierre le goff a donc écrit mais ce sont cuites, l'héritage impossible et effectivement il explique que cette. Négativité de mai 68 a produit des délires. Et qui sont des délires qui qui qui font encore la loi aujourd'hui et que si l'on veut effectivement pensé mais 68 il faut penser la positivité qui aura été la la destruction de tout ce qui était patriarcal de tout ce qui était domination de l'homme blanc mâle et cetera et cetera mais que cette critique négative de se doubler d'une affirmation positive avec des valeurs des propositions. Il écrit également la gauche à l'épreuve sous-titré enfin pas senti très blessé 1968 2011 et ce sont des chroniques extrêmement intéressantes qui comme celle dans dont je vous ai parlé analyse de la gauche à gauche parce qu'il ne s'agit pas d'une critique de droite il ne s'agit pas d'une critique réactionnaire ou conservatrice de mai 68 ou de l'état des lieux mais c'est une c'est une lecture d'une gauche qui nous dit bien la gauche a perdu ses repères et c'est pas une raison pour dire qu'il faut abolir la gauche au moins finir avec la gauche et une façon de dire repensant la gauche à partir de ce que la gauche n'a pas fait ou de ce que la gauche a mal fait. J'ai pas pris tous jean-pierre le goff il a écrit récemment la fin du village en livre sur la fête du village que je n'ai pas vu mais mais qui me paraît extrêmement intéressant je vous signale aussi la barbarie douce et publier la découverte et qui est sous-titré la modernisation aveugle des entreprises et de l'école travail extrêmement intéressant aussi. Un petit texte sympathique d'un personnage sympathique que j'aimais bien et qui aimerait bien mais tu es parti un peu trop tôt qui s'appelle jean-paul dolet. Soixante-huitards joyeux qui n'avait renoncer à rien mais il est mort un peu un peu trop à mon goût et qui qui m'avait envoyé chez germinal un petit éditeur un livre qui s'appelle la joie des barricades tard il y a eu joie des barricades. Et puis ce petit livre que je suis en train de lire de bérénice levet la théorie du genre ou le monde rêvée des anges c'est chez grasset et justement c'est une c'est une façon de penser la question du genre au-delà des invectives en philosophes une jeune philosophe. Pour ce que j'ai lu je trouve que le livre est vraiment très intéressant pour débattre sur cette question plutôt que l'insulter voilà la bibliographie.