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Une aporie metaphysique

Il semble qu'il y a une aporie contradiction quelque chose qu'on arrive pas à résoudre dans cette proposition que nous fait spinoza si vraiment la nécessité est partout si vraiment tu est réglé par la nécessité comment est-ce qu'on peut vouloir plutôt une vissage qu'une vie tu n'es pas sage comment est-ce qu'on peut faire pour être voulu par un désir par une puissance qui ne déborde et qui nous fait être ce que nous sommes d'ailleurs d'une part et d'autre part pouvoir préférer la visage à la vie qui n'est pas sage sa part et a priori une problématique. Et parce que par définition le désir semble contrarié la liberté sans me contredire la liberté qui nous sommes des êtres de désir nous ne sommes pas des êtres de liberté si nous sommes des êtres de liberté nous ne sommes pas des êtres de désir même si ça peut évidemment s'articuler on peut être désirant et en même temps postuler que le libre arbitre existe et que nous avons le choix de faire de nos désirs ce que nous voulons en faire c'est une possibilité qui est donnée simplement chez spinoza ça paraît plus problématique que ça parce que le désir est partout pour utiliser une phrase qu'on retrouve un petit peu plus tard chez monsieur de paris le désirez partout ça veut dire que la liberté nulle part comment faire donc pour pouvoir vouloir être sage comment peut-on faire pour préférer la béatitude comment peut-on faire on va pas revenir tout à l'heure pour préférer plutôt les passions joyeuses que les passions tristes cet apport il suppose que on puisse pour la résoudre pour tâcher de la résine consacre un certain temps de cette séance à voir ce que le corps vraiment j'ai spinoza ce qu'est le corps puisque la question je dis tout à l'heure et que peut le corps et biens qu'est-ce que ce corps qui est bon cette question. Ce détour par le corps il suppose que on ne le pense pas de manière classique et traditionnel avec depuis platon. On considère qu'il y a l'âme d'un côté le corps de l'autre que la mêlée d'une certaine manière dans le corps comme le pilote du navire dans le bateau si tu n'étais pas utilise platon et que donc là ce serait ce qu'il gouvernerait le corps ça ne marche pas chez spinoza d'avoir ce qu'il n'y a pas d'âme chez spinoza il n'utilise jamais le terme latin animal utilise le terme latin mal c'est-à-dire l'esprit c'est pas exactement la même chose c'est que le terme latin le terme de dame et connotée religieusement la mer est essentiellement chrétienne même si c'est une vieille chose et vous savez maintenant qui est pythagoricienne qui est platonicienne quand on utilise le vocabulaire là et bien on est dans la logique judéo-chrétienne plutôt chrétienne d'ailleurs que que judéo-chrétienne plutôt lui demain si ça te dire de d'esprit on va voir ce qu'il ce qu'il entend par là. Donc cette question que peut le corps et une question jamais posé nos disputes et il a raison si vraiment on fait la la recherche en amont si on essaie de voir ce que ce qui se dit ce qui se passe chez les philosophes qui précède pas ce qui nous a personne n'a véritablement jamais posé la question de la possibilité du corps des possibilités du corps tu as dire des limites en deux ça de quoi au-delà de quoi ce qu'il veut ce qui ne peut pas ce qu'il est convenable de lui demander comment il fonctionne c'est une logique extrêmement moderne que cette logique d'un spinoza qui pose des questions du corps et c'est un petit peu après avec un certain aniche bien sûr mais surtout avec un fruit qui doit beaucoup annick que on tâchera de résoudre un peu la question de commencer à résoudre la question épineuse as raison de dire que cette question est majeur quel est essentiel et qu'on ne l'a jamais posé le corps de spinoza le corps dans la philosophie de spinoza dans la pensée de spinoza à l'évidence à n'est pas le corps de la tradition idéaliste savais que cette tradition idéaliste qui fait la logique officiel je dirais de la philosophie où la logique de la philosophie officielle n'est pas la nôtre c'est pas notre logique et qu'on est plutôt soucieux ici de ce que contre histoire de la philosophie donc là pour le coup on a une illustration n'est pas dans la logique du dualisme de platon ou de pythagore avec d'un côté une amie matériel et de l'autre côté encore un matériel et ça dure une éternelle et puis de l'autre côté un corps périssable inscrire dans le temps et dans la durée on n'est pas non plus dans une logique chrétienne qui reprend peu ou prou cette thèse là il est bien évident que la thèse de l'âme peccamineuse pécheresse porte du péché mais susceptible aussi de nous permettre le salut c'est une thèse qui s'inspire de la pensée grecque en partie le phédon de platon et un grand texte très chrétien d'une certaine manière on peut le penser comme ça et puis il n'est pas non plus le corps de spinoza un corps cartésien puisque le corps de descartes et lui aussi tributaire de cette vieille logique de cette vieille distinction des cartes comme vous avez dit qu'il y a d'un côté la substance étendue de l'autre côté la substance pensante et que ces deux substances là elle pose problème parce que effectivement il y a une qui est dans la logique de l'étendue et l'autre dans la musique de la pensée son d'une consistance métaphysique ontologique différentes est le problème de on se pose des cartes sera obligé d'aller chercher des espèce de truc je dirais du côté de la glande pinéale il a vu du côté de l'hypophyse non pas de débit film de l'hypophyse va dire que cette substance étendu cette substance qui se trouve chez vous et vient se trouve un peu miraculeusement parce que c'est problématique chercher des cartes mais par cette glande pinéale. Donc il n'y a pas un homme chez spinoza deux substances complètement irréductible avec la possibilité de construire de monde c'est-à-dire un monde qui serait dans line matériel à montry serai dans le dans le matériel il n'y a qu'une seule substance et des mods différent donc c'est comme ça qu'il faut penser la philosophie de de spinoza une substance et au moins de mode de modalité modalités qui est celle de l'étendue vous retrouverai le vocabulaire cartésien la chair et une modalité qui est celle de la pensée qui est l'esprit mais en même temps il ne faut pas penser en cartésien ces notions de descartes il les empreintes mais les transcende comme tu philosophe digne de ce nom d'une certaine manière il s'empare du vocabulaire et lui fait dire ce qu'il doit lui dire ce qu'il doit dire pour pour lustrer sa thèse et on pourrait dire sans trop se tromper que chez spinoza l'âme et tu es tu es un dur d'être à l'âme et le corps et le corps et l'âme aussi il n'est pas question d'aller voir deux instances absolument séparés ils sont uniques et une île puisque c'est la même chose c'est exactement la même chose simplement on peut donner de définition c'est un petit comme quand vous tourner autour d'une statue et vous vous déplacez un petit peu c'est un angle différent mais c'est le même objet qui nous a nous dit le corps c'est l'objet de l'esprit et il nous dit l'esprit c'est l'idée du corps donc il faut jongler avec cette terminologie le corps objet de l'esprit et l'esprit idée du corps. Il y a dans la pensée de de spinoza une petite phrase qui a beaucoup qui a beaucoup qui que c'était le monde et qui a fait un gloser parce qu'il a parlé de d'éternité. Spinoza nous dit que le corps est éternel alors évidemment il y a des gens pour considérer que si le corps est éternel c'est que peut-être il y a quelque chose qui renvoie au corps glorieux ou encore chrétien et qu'on peut tirer la philosophie de spinoza du côté du christianisme à l'évidence c'est de ne pas lire la totalité de la pensée de spinoza qui nous dit que effectivement d'une certaine manière nous sommes éternels nous expérimentons que nous sommes éternels 18 n'osa c'est donc une espèce de sensations qui renvoie l'expérience subjective est particulière de de chacun et nous ressentons c'est éternité à partir du moment où nous procédons de la pensée c'est parce que nous procédons de la pensée et pas seulement du corps et de l'étendue c'est parce que nous procédons de la pensée que nous expérimentons une certaine forme d'éternité. Pour être presque d'immortalité aussi ce qui voudrait dire quoi que d'une certaine manière et c'est une. Espèce de théorie qui permet ce qu'on appelle la sotériologie style de fille du salut vous pourriez imaginer que en tant que vous êtes substance vous êtes d'éternelle moi aussi et en tant que vous êtes mode d'une certaine manière vous n'êtes pas éternel ta dire que ce que vous êtes dans l'absolu ça dire comme partie d'une substance ça va durer mais que les modes se dire ce qui fait que vous êtes voulais pas quelqu'un d'autre bien ça disparaîtra que donc en tant que substance de l'éternel bien ça me fait une belle jambe de savoir qu'après la mort je persiste sous forme de substance parce que ce qui m'intéresse ce sont plutôt mets mode et vous aurez bien raison mais on a les pensées consolante qu'on peut.