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Le XVIII siecle deiste

Simplement quand on pense l'économie libérale dans une époque qui est déiste le 18e siècle un qui n'est pas un secret et contrairement à ce qu'on dit le 18e siècle est un siècle voltaire déteste les ati les rousseaux déteste les ati les déiste helvétius quoi qu'on en dise est dispo si il y en a certains hommes comme ça diderot aussi pendant longtemps par existence avant de devenir panthéiste peut-être enfin été déiste aussi et tous les autres de moindre envergure sont aussi des listes tu as dire qu'il pense que une espèce d'horloger existe et qui justifie le fonctionnement de l' horloge que le monde c'est ce que pense le 18e siècle le 19e siècle s'avance vers l'athéisme le 20e siècle et franchement été. Simplement on est resté sur ses attendu là. Comme certains sont restés sur les attendus du marxisme il pense que rien ne s'est passé depuis mars et qu'on devrait abolir le salariat le capital avec une révolution qui permettrait via l'appropriation des moyens de production de réaliser le bonheur sur terre vous avez des gens qui croient encore ça pas beaucoup mais quelques-uns ça fait pas trop de dégâts sur la planète ça on a fait au 20e et ça n'en fait pas trop aujourd'hui en revanche le libéralisme et une idéologie qui est défendue par les trois quarts des gens sur la planète qui pense d'une manière aussi fautive que le bonheur c'est pour demain pourvu qu'on laisse faire pourvu qu'on laisse courir et que finalement la main invisible finira bien par régler le problème et tu auras une homéostasie sociale économique et politique ça n'est pas vrai ça ne marche pas comme ça donc mais il faudrait que nous puissions aborder la question de la métaphysique du libéralisme avec les libéraux et que on puisse constater que si on laisse faire c'est la loi de la jungle qui va triompher et que le propre du libéralisme c'est de permettre aux renards de rentrer librement dans le poulailler où les poules sont libres et de dévorer librement les boules qui ont été des mais ce n'est plus tenable ça n'est plus défendable on le sait très bien à part où vous allez sois la planète est où le libéralisme n'est pas tempéré parler ta part du social par des instances qui régule et qui régule le libéralisme c'est la violence et c'est la brutalité la naturelle et libéral naturellement faire l'effort bouffe les faibles les pas force on devient des rue zédé malin et détruisent les - moi malin c'est trop faible l'impératif catégorique du libéral moreau faible la civilisation dit l'inverse. Elle dit le faible va se trouver défendue par le fort le rôle du force est de défendre le faible celui qui est puissant sonore de s'occuper de celui qui ne l'est pas ça sert à ça la grandeur né grand que celui qui est capable de ne pas user de sa grandeur pour détruire les autres ou pour les massacrer vous pour les à servir donc je crois qu'il y aurait effectivement un travail à faire sur les fondements métaphysique du libéralisme pour montrer qu'ils sont des listes 18e liste c'est quand même important c'est un siècle optimiste qui pense qu'on va tout régler on va finir par tout réglé par l'économie par la philosophie par la science c'est une époque où on croit que ici on fait avancer la science on fait reculer l'obscurantisme religieux sur fait avancer la philosophie on fait reculer la barbarie et la cruauté si on fait avancer par l'économie la prospérité des nations on va réaliser le bonheur de l'humanité c'est un siècle optimiste le 19e a fait la démonstration qu'on avait tort d'être optimiste et le 20e encore plus ça dure le 19e siècle a été l'occasion d'exploitation l'occasion de la prolétarisation d'un nombre considérable de gens sur la planète ça a été l'occasion de grosses fortunes et de d'immenses pauvreté et puis le 20e siècle a ajouté à sa allez les dictatures les tyrannies et les fascisme rouge et noir que l'on connaît donc effectivement il y a un moment où il faudra dire. Moi je le dis un peu mais il faudra dire que le libéralisme est une idéologie mortifère dangereuse ancien qu'elle a vu le jour à une époque où on était en perspective optimiste et déiste et que l'heure n'est plus au déisme ni à l'autre.