Link Search Menu Expand Document

Naissance de la famille

Naissance donc en même temps que la propriété privée de la famille. C'est à partir de ce moment-là qu'on va constituer une famille qui elle est le premier roi de la machine sociales l'état et en le dernier moment de cette machine sociale je vous renvoie aux principes de la philosophie du droit de hegel ou effectivement = terroristes tout ça très bien et là on est dans le premier roi de la machine sociale le patriarcat va donc imposer sa loi sa lecture des choses sa lecture du monde et les femmes vont évidemment en faire les frais. Le patriarcat nous enseigne qu'il y a une différence entre les hommes et les femmes c'est nécessaire de faire savoir effectivement qu'il y a des hommes des femmes et ce sont des débats qui sont posées aujourd'hui des études qu'on appelle et gender studies du genre avec un certain nombre de personnes je pense à judith butler par exemple aux états-unis et quelques autres qui nous font savoir qu'après tu es une femme c'est pas si sûr que ça qu'on puisse utiliser ces catégories certes on peut imaginer que physiologiquement biologiquement un homme n'est pas une femme et que si je me déshabille devant vous vous serez à peu près au vu de mon anatomie que je ne suis pas une femme et que 100 % des individus seront capables d'en faire le constat. Mais il n'y a pas que la physiologie il y a des hommes qui se font femme il y a des femmes qui se sentent homme qui nous dit grosse il vient la bisexualité nous sommes bisexuelle il n'y a pas de virilité chez l'homme avec de l'autre côté de la féminité chez les femmes avec une obligation de correspondre aux définitions qui s'en fait habituellement en gros tu me dis mais pas du tout il y a de la bisexualité en chacun et il nous dit ça c'est le matriarcat qui produit cette distinction cette séparation entre deux genres extrêmement distinct en nous disant il faut que vous soyez quelque part homme ou femme pourrait dire homme donc non femme ou femme donc non parce qu'il y a du côté de l'homme le pouvoir la puissance l'homme l'autorité et puis la famille le capitalisme le capital les stocks et cetera ça toutes les choses de la vie de l'autre côté les femmes qui serait des objets des choses des machine à produire des richesses parce que les enfants seraient des richesses me quitterais des machines entre les mains et qu'elle veut dire des hommes qui en seraient les propriétaires donc le patry impôts cette idée qu'il y aurait hommes et femmes de manière extrêmement distingue alors que tu dis non il y a de la bisexualité en chacun est en dose plus ou moins différentes effectivement il y a un peu y avoir des garçons avec une dose de féminité importante des filles avec une dose de masculinité extrêmement importante et la vérité sexuelle libidinal de tout un chacun c'est ça c'est idée de la bisexualité et dès qu'il n'y aurait pas que du masculin dans l'homme et que du féminin en la femme c'est une idée qui passe de flis a fraudé de la grosse mais pas avec les mêmes conséquences autre idée dommageable cette idée que nous pourrions associé actif et masculin passif et féminin et c'est encore souvent le cas cette idée que l'activité est du côté des hommes et la passivité du côté des femmes et que dans le registre homosexuel par exemple il faudrait. Que nous retrouvions le schéma homme femme avec celui qui dans une posture qui serait posture de soumission jour est le rôle de la femme tout ça entre guillemets pendant que l'autre jour est le rôle de l'homme parce que omega l'activité ça m'est égal pas si vite et ça nous dit grosse c'est dommageable de penser de cette manière-là et cette pensée là c'est une pensée qui s'enracine dans le patriarcat autre distinction fautive l'association entre la femme et la réserve naturelle et puis l'homme et l'agressivité on considère effectivement que les femmes qui sont soumises elles sont réservés son dos ils sont pas agressif césar on dit les hommes ne sont plus diplomate plus de l'autre côté les hommes ils seraient les chasseurs il serait agressif la brutalité killer et choix comme une espèce d'héritage naturel ils sont sommes donc l'agressivité la brutalité ça fait partie de leur nature grosse dit ça c'est une sottise on ne peut pas défendre cette idée-là. Autre idée dommageable elle aussi propager par le patriarcat l'association de la sexualité au péché originel ou au mal originaire que ce serait mal en soit c'est parce qu'il y a une logique patriarcale que deux fait la sexualité est présenté comme quelque chose de négatif. Qui présente également dans un cadre par la suite on vous dit la libido n'a de sens que si elle s'inscrit dans un cadre qui celui de la monogamie de la fidélité de la conjugalité de la maternité et ça c'est l'ordre de la sexualité ça c'est le bien c'est le bonne ordre sexuel le mauvais ordre sexuel ce serait le désordre l'absence d'ordre et ce serait la soumission de la sexualité à elle-même ce serait que la sexualité puisse être autonome à elle-même sa propre loi ce que tu souhaites auto grosse bien entendu dans le patriarcat ça n'est pas ce qu'on dit on dit même très exactement l'inverse la sexualité et saint-paul codifie tout ça très bien la sécurité c'est la monogamie la fidélité exetera c'est donc le renoncement autant que faire se peut à la sexualité ou à la liberté libre expression de rimbaud à la liberté livre de la libido au profit d'une sécurité avec qui elle ne sera sûrement pas épanouissantes la génération des névroses mais qui rendra possible l'ordre social. Autres généalogies d'un problème considérable à partir du matriarcat la chose ification des femmes les femmes deviennent des objets et à l'évidence effectivement quand on voit que les femmes deviennent des objets susceptible d'être échanger des choses qui peuvent être plus ou moins belle plus ou moins riches plus ou moins héritière plus ou moins issu d'une tribu qui est l'associé sa force et sa puissance sa notoriété son vrai nom et cetera on voit bien que les femmes ne valent pas pour elle-même mais comme des objets comme des choses. Mauvaise chose également nous dit une grosse l'autorité paternelle dans une famille l'autorité c'est l'homme et personne ne doute de cette idée on est en 1919 aujourd'hui on n'en doute un peu et c'est fort bien encore que le doute ne soit pas généraliser mais l'idée que l'autorité c'est l'autorité paternelle que dans une famille c'est l'homme qui fait la loi parce qu'il est le père donc il est la vrai que tout ça est naturel grosse nous dit ça également c'est extrêmement demain.