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Eloge de la violence

Ce qui veut dire dans la perspective dialectique vous pouvez très bien d'utiliser des moyens de contraintes des moyens de l'intolérance au pas pure pour le coup mais un peu et bien cette intolérance elle s'intègre dans le schéma dialectique si l'intolérance rend possible une société dans laquelle il n'y aura plus de négativité alors là l'intolérance et défendable on tolère ce qui rend possible la victoire du prolétariat on ne tolère pas ce qui empêcherait la victoire du prolétariat en ce sens. Il faut faire l'éloge de la violence. Marcus fait l'éloge de la violence en vous disant que pour finir avec la violence il faut actualiser la violence c'est-à-dire pour en finir avec une violence la violence du capital et du capitalisme il faut activer une autre violence qui sera la violence révolutionnaire et il justifie citation les moyens non démocratique. Citation propose de retirer la liberté de parole et de réunion à des groupements des mouvements qui prêche une politique d'agression d'armement de chauvinisme de discrimination raciale et religieuse ou qui s'oppose à l'extension des services publics de la sécurité sociale de l'assistance de l'assistance médicale et cetera. Un exetera qui permet de dire et d'autres choses en fonction du caprice si on a décidé que il faut aussi interdire celui-ci ou celui-là parce que le processus entra vrai la vérité objective et bien on interdira aussi je trouve que cette exetera est terrible par exemple marcus veux qu'on interdise tout recherche scientifique qui ne viserai pas le progrès. Qu'est-ce que le progrès. Et quand on considère que la recherche scientifique doit être indexé sur le progrès on dit pas où est le progrès on dit pas ce qu'est le progrès on ne dit pas ce qui serait régressif ou progressif. Il faut nous dire marcus supprimer la liberté d'expression supprimer la liberté de réunion supprimer la liberté pédagogique supprimer la liberté de recherche scientifique est instauré la censure le mot est écrit sous la plume de marcus la censure qui interdira et bien marcus nous dit des minorités combattantes disperser est invisible comme ça c'est tranquille on sait pas qui. Il s'agit donc de combattre la violence et démocratie parce qu'il y aurait une violence des oppresseurs qui ne serait pas bonne une violence des opprimés elle serait bonne mauvaise violence réactionnaire c'est la violence qui permettrait au capitalisme d'être et de persévérer dans son être et puis une bonne violence qui serait celle qui viserait l'abolition de la violence capitaliste. La première violence la mauvaise influence réactionnaire c'est la violence des journaux c'est la violence des médias la violence de la société de consommation de l'industrie de l'armement de la guerre de la publicité de la mode et il a pas tort il y a une violence. Les journaux dans les médias dans le fonctionnement de la société de consommation le fonctionnement de l'industrie et les industrie de l'armement la guerre évidemment plus que jamais et la publicité ou la mode et il considère que contre ces violences là il faut faire l'éloge d'autres violences les bonnes qui elles sont terrorisés par sartre parma au parc astro ou par frantz fanon docteur donc des damnés de la terre. Marcuse écrit si on considère le rôle historique de la violence alors il existe vraiment une différence entre la violence révolutionnaire ou réactionnaire entre la politique pratiqué par les opprimés ou par les autres. Regard de l'éthique toutes deux sont inhumaines est mauvaise et phrase terrible mais depuis quand l'histoire obéit tel au règle morale. Et de fait c'est une question tout ce qui pendant des années il y en a encore aujourd'hui nous disent que il y a les petits qui vient politique et la politique et ce sont deux registres hétérogène. C'est une vieille logique qui qu'on voit chez chez machiavel qui nous dit que par exemple le prince mentir fait la justification du mensonge n'a pas besoin d'être de morale que la politique à son ordre et que la morale à son ordre qui sont deux mondes de se parler et puis d'autres comme la boétie comme les libertaires comme albert camus qui considère que non l'éthique doit être une politique et la politique doit être éthique on peut effectivement dira marcus qu'il se trompe et que c'est justement parce que la politique ou une certaine politique a rompu avec les tiques et que nous en sommes en étions là où la france en été dans les années où marcuse écrit dans les années qui sont encore une autre.