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Pardonner n'est pas oublier

Il considère la encore dans un jeu de dans un jeu de moraliste qui très doué pour la sophistiqué pour la rhétorique il nous dit que évidemment tout le monde a l'habitude de dire que pardonner c'est moral et pas pardonner c'est immoral est l'inverse la perspective en nous disant que pardonner serait-il moral. Et que ne pas pardonner cette au contraire moral c'est sophie comment fautif de confondre le pardon et l'oublie mais en même temps c'est rentable d'un point de vue rhétorique. Là encore. Gentille il fait du jankélévitch te dire il jongle avec les mots et de fait on peut se retrouver sur ses pattes ne pas avoir vu ce qui s'est passé une espèce de tours de bondo ontologique et philosophique et on se trouve convaincu parce qu'il nous a fait prendre une chose pour l'autre le pardon pour l'oubli par exemple même chose avec le temps il nous dit le crime ne peux pas. Être moins fort avec le temps le temps n'est pas les douleurs. Mais plus le temps passe plus les douleurs augmente. Ça va évidemment contre le sens commun souvent la philosophie va contre le sens commun c'est parfois le sens commun raison. Et on oublie souvent que le sens commun souvent raison et parfois raison et le sens commun nous dit effectivement hélas. Les douleurs se fatigue les douleurs se cuisent on accepte avec le temps des choses qu'on accepté pas au moment où elles ont eu lieu détails des souffrances des peines exetera et il y a un effet du temps. Sur les douleurs sur les souffrances sur la négativité et bien jankélévitch dit non c'est l'inverse. Plus le temps passe moins il y a d'oubli de fatigue de ce qui est le mieux mais plus ça augmente. Le temps nous dit jankélévitch n'a pas et pas c'est tout france alors que c'est pas le temps qui apaise aucune appelle se passer aussi le philosophe c'est celui qui veut. Espèce de l'expression débile de faire son deuil hérité du pied diabétique la psychanalyse du freudisme et cetera n'a aucun sens mais il faut vouloir ne pas vivre sous le poids de la douleur ou de la souffrance pour d'exploser sous peine de faire de telle sorte que la douleur et que la souffrance continue et nous emporte donc on peut imaginer que c'est pas le temps qui augmenterait la douleur mais le philosophe qui voudrait le l'augmenter. Par peur d'oublier pour le coup et peut-être même par peur de pardonner pour le coup je passerai du pardon à l'oubli. On lui dit mais avec le temps les preuves disparaissent aussi et jankélévitch toujours dans la même logique dit mais non le temps ne permet pas la disparition des preuves au contraire elle se multiplient nous dit-il. On lui dit mais peut-être que qu'avec le temps l'émotion publique s'atténue elle aussi. Non elle ne cesse de grandir. Quelle émotion public. Il affirme que les crimes contre l'humanité sont imprescriptibles c'est-à-dire ne peuvent pas être prescrit le temps n'a pas de prise sur. Le temps n'aurait aucun effet mais alors comment peut-on en même temps dire que le temps à vive l'horreur que le temps multiplie les preuves que le temps fait grandir l'émotion publique. Si le temps n'a aucun effet alors il peut pas non plus avoir un effet d'augmentation en effet et accélération un effet de multiplication si le temps est sans effet ils sont en effet il peut pas être avec des effets quand il s'agit de chercher des effets négatifs. On voit bien que jankélévitch mais toute sa volonté à ne pas pardonner sous prétexte qu'il entend ne pas oublier. Il aurait peut-être fallu lui dire que personne ne lui demander d'oublier.