Condition de l'homme moderne

Bonsoir merci d'être là pour cette dernière séance consacrée à hannah arendt. J'ai souhaité ce soir. Vous parlez de la philosophie de hannah arendt en temps de crise. Je voudrais commencer par la condition de l'homme moderne qui est un livre qui paraît en 1958 et qui est traduit en français 1961 c'est son premier livre traduit à paris. Le titre anglais et human covit conditions c'était pas traduire évidemment la condition humaine parce que parce que malraux fait le succès que vous savez avec ce même titre mais ça pourrait être ça se dire condition de l'homme moderne ça veut dire la condition humaine à ton retour dans un débat télévisé 2 novembre 1972 elle convient d'une erreur et elle dit qu'elle a eu tort d'envisager la question de la vie active du point de vue de la vie contemplative sans préciser ce qui est la vie contemplative et de fête. Elle envisage un second volume pour compléter sa réflexion sur ce sujet là qu'elle essaie d'écrire nous dit qu'elle essaie d'écrire donc elle ne donne pas le détail des 7 et c'est qui la retient contient est-ce que elle existe sur cette thèse qu'elle les a est-ce que elle a un angle d'attaque on a pas plus de précisions mais il s'agira d'un livre qui s'appelle la vie de l'esprit et c'est le dernier ouvrage d'un arendt d'ailleurs un ouvrage inachevé qui paraîtra de manière posthume. C'est ouvrage bon je vous dit qu'il était très très philosophique au centre universitaire institutionnelle et professionnel du terme et elle fait des analyses extrêmement serré de couple philosophique du genre vie contemplative vie active domaine privé domaine public éternité immortalité police et la famille et le travail et les loisirs propriété et richesse œuvre et réification action et fabrication faire et agir sciences de la nature sciences de l'univers irréversibilité et pardon imprévisibilité et promesse donc voyez ce sont des ce sont des couples classique ce sont des couples très très théorique et il faut vraiment avoir envie de quelque chose de théoriques le théorique c'est la théorie pour elle-même si vous voulez. Pour trouver son plaisir à ce genre d'ouvrage. Toutefois il y a dans la préface à ce livre matière véritable réflexion presque comme si finalement le livre est inutile ou du moins en avait d'utilité que pour la préface qu'il rend possible car dans la préface qui m'a emballé je veux dire que le reste du livre mais plutôt ennuyé mets la préface handball justement parce qu'il y a des hypothèses des des idées qui me parle juste qu'elle ne travaillera pas c'est-à-dire que la plupart du temps c'est ainsi qu'on procède on fait le livre puis ensuite on fait la préface on fait une introduction en annonce ce qu'on va dire parce qu'on est sûr de l'avoir dit et elle examine. 3 perspective que je dirais une liste et je reprends dire que le chat plume moi qui l'utilise pas ce que je propose une lecture pas vraiment en utilisant le terme et la fin de la fin de la reproduction sexuée et la fin du travail. On est vraiment dans une dans une période où il faut avoir une intuition jean pour pouvoir saisir ces choses là il y a assez peu de philosophe qui ont réfléchis sur ce sujet et sûrement pas les philosophes français qui était tout aux marquises mais tout au structuralisme mais qui n'avait pas envie de penser ces questions éminemment concrète la fin de la vie sur terre et à mettre en perspective avec la décolonisation de l'espace savais qu'aujourd'hui il est question d'aller sur mars et qu'il y a des gens qui sont partants pour installer une colonie sur mars sachant très bien qu'il partiront ils reviendront jamais qu'on a pas les moyens de revenir on peut faire l'aller on s'installe et on va mourir sur place et on va vivre dans des conditions et qui sont celles dans l'habitacle clos bien sûr donc cette question est plus que jamais d'actualité fin de la reproduction sexuée nous dit elle s'est fini les câlins sous la couette et papa et maman pour faire des enfants ont recours maintenant à la technologie transgénique on est dans les années 50 il est bien évident qu'aujourd'hui on voit que elle avait raison sur ce sujet et puis nous dit elle fin du travail c'est-à-dire qu'il y a une espèce de événement du loisir sans objet.