Relire l'Eternel retour

Henri lefebvre donne la formule de ce post-it ça dire au gars denis tu peux en même temps le dépasse il s'agit de retrouver le sentiment d'éternité. Non j'ai dit que c'était simple a le sentiment de l'éternité on ne le tien quand on a compris que la volonté puissance et est déterminante qu'il fallait aimé cette volonté de puissance qui nous fait être ce que nous sommes est dans l'adhésion à l'avant des puissances il y a la jubilation ce que propose lefebvre c'est l'inverse il ne faut pas aimer ce qui aimait vouloir autre chose que ce qui est. Et je vous dis à tout à l'heure que deleuze avait beaucoup lu lefebvre et cette idée effectivement que l'éternel retour ne dirai pas ce que l'éternel retour nous dis et bien lécher le faire l'éternel retour chez nyx me dit le même revient toujours c'est l'éternel retour du même toujours. Mets lefebvre nous disent ils m'ont leur elle ne revient que parce qu'on l'aura voulu comme ça plutôt contre moi et ça deviendra la grande thèse du nietzschéisme de mai 68 jouir sans entraves le prenons nos désirs pour la réalité pas tous ces propos comme ça entre guillemets tous les propos de chien suppose effectivement qu'on peut agir sur le cours de la vente des puissances et qu'on peut vouloir une vie plus vivante que celle que nous vivons lefebvre nous dit il invente le nietzschéisme gauchiste de la des années de mai 68 il nous dit qu'on peut trouver ce sentiment d'éternité en multipliant le désir en voulant tout en reculant les limites de la vie en unifiant décompte des contenus habituellement contradictoires comme la contemplation l'amour est l'action et puis également en vivant la vie terrestre comme une chance. Oui que ça ce ne sont pas des propos de nietzsche mais que ce sont des propos nietzschéen il faut juste qu'on puisse dire que l'éternel retour ne doit pas être lui communique je lisais lui-même c'est-à-dire qu'on le concerne il y a effectivement une théorie de l'éternel autour mais on ne dépasse une audi éternel retour du même lefèvre nous dînons éternel retour de ce qu'on aura désirez plus amant de ce qu'on aura voulu violemment l'éternel retour voilà ce que lefebvre nous on dit chaque moment de la vie est infiniment précieux et c'est ainsi que le matérialisme proclame la valeur de la vie humaine de la vie individuelle et de ces moments vie tout instant en sachant qu'il est unique approfondi chaque instant par la conscience de son contenu de toute la puissance et de toute la réalité humaine qui l'enveloppe eternise le par cette conscience de son unicité de façon à le dépasser dans une conscience toujours plus lucide d'un contenu toujours plus profond c'est impératif du dépassement s'oppose à l'impératif du retour n'est-il pas plus nietzschéen. On est dans une perspective en dialectique je vous le rappelle donc il y a un passage cette fois-ci je vous ai dit tout à l'heure qu'il mélanger la biographie le concept et puis l'anthologie bien après une dissertation comme celle-ci on arrive. A des considérations sur la vie de nietzsche et le fait nous dit que contempler la vie qu'il aurait voulu vivre c'est pas complètement faux et lefèvre lui invite à vivre pleinement la vie qui est. C'est très exactement ce que nous disait nique dans sa première proposition il nous dit le faire que j'étais prisonnier de l'idéal de l'idéalisme ce qui lui plaisait précédemment l'aspect poète est l'aspect lyrics là ça devient dans son cou problématique isneauville aurait dû écrire des romans et proposer des types d'humains et créer proposer des solutions personnel. Pour me dire que ainsi parlait zarathoustra est une espèce de grand roman c'est une grande pause pour les tickets que créer des personnages là pour le coup il y en a deux grands poèmes espèce de coup de génie et comme il y a des coups de génisse combien de coup de génie chez dante ou chez lucrèce qui sont des gens qui peuvent recourir à la poésie pour dire des choses philosophiquement profonde. Lefebvre nous dit que nietzsche entretien des rapports intimes avec lui-même mais pas avec les autres et qu'il aurait manqué la vie concrète qui aurait justifié chez lui la pensée qui était la sienne.