La solution d'un nouveau matriarcat

Conclusion comment il faut faire quand on a vu que les choses fonctionner comme ça un conflit une subjectivité une pulsion individuel subjective une société qui veut calmer ses pulsions qui veut la contenir qui veut la réfréner comment on s'y prend. Il faut penser en termes de prophylaxie ça aussi c'est une idée qu'on retrouvera un chiffrage prophylaxie te dire pas seulement croire que il y a la guérison la thérapie le divan et que on attend des gens. malade et quand ils sont malades en demande au divan de régler le problème non on se débrouille pour faire de telle sorte et c'est mieux qu'il n'y ait pas de malade c'est mieux d'éviter la maladie plutôt que de tâcher de guérir la maladie il me dit c'est sa solution on verra dans la semaine suivante quelle forme pratique ça peut prendre une audi l'amour doit être prodiguer à l'enfant absolument sans condition et sans aucun lien avec une exigence de quelque ordre qu'elle soit comme une approbation d'individualité pour elle-même dans tout son originalité naissance il faut aimer sans limite sans raison pour l'amour parce que l'amour est la seule et unique nourriture affective. On voit bien qu'il est dans une logique tout à fait binaire. Qui oppose le père et la mère t'a dit la loi castratrice du pain et la loi produits de la mer d'un côté l'autorité tyrannique la puissance apollinienne constitutifs de l'ordre de l'autorité de la hiérarchie et cetera et puis de l'autre côté la douceur sans sel de la mer donc des femmes qui propose à une espèce de tendresse que je dirais architectonique d'une vie saine qui nous dit voilà ça c'est subjectif individuel et particulier donc chacun devrait se comporter comme ça je comporter comme père comme mère comme parent voir comme éducateur et il nous proposera une société tout entière révolutionner pour éviter de névrose société qui soin prophylaxie des femmes névrose de conflit en nous disant voilà il faut en finir avec le patriarcat qui domine et réalisé le matriarcat ça ce sera pour la séance suivante.