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Aimer ce que l'on est

Troisième chose je vous disais donc que première chose savoir ce que l'on et deuxième chose de venir ce que j'en ai troisième chose aimer ce que l'on a été une progression on sait on connaît mais on finit par msa où l'on retrouve le fameuse amor fati. Simplement j'avais signalé c'est à paris où cette difficulté et qu'il y a à dire d'une part la nécessité est totale et d'autre part on peut vouloir quelque chose plutôt qu'autre chose si vraiment la nécessité est totale comment est-ce que je pourrais imaginer que la liberté puisse exister comment est-ce qu'on peut commander à ceux qui nous soumets la volonté de puissance vous fait être ce que vous êtes comment pourriez-vous commander quelque chose à la volonté de puissance comment est-ce que vous pourriez vous approprier ce qui vous possède que la volonté de puissance vous possède est-ce qu'il y a une possibilité de posséder ce qui nous possède comment produire demain comme une nouveauté s'il s'agit de se construire c'est que je suis déjà aujourd'hui comment elle se passe à imaginer ces choses-là est-ce qu'on peut vouloir plutôt ceci que cela effectivement si on est sur une mauvaise définition de liberté et si on croit que la liberté c'est pouvoir de faire ce qu'on veut quand on veut comme on veut définition de la licence mais sûrement pas une définition de la liberté alors de fête. On pourra pas répondre à ces questions là et elles resteront des abris des impasses des choses quand on arrivera pas à se défaire. Il faut redéfinir liberté en considérant qu'elle est consentement à la nécessité la liberté n'est pas un pouvoir de faire ce qu'on veut quand on veut la liberté elle et consentement à la nécessité c'est du spinoza à l'état pur qu'il faut consentir au réel comme il est pour parvenir à la béatitude dans une logique qui est tout à fait celle qui est jaune et qui attend adoré et détester spinoza pourquoi il attend été sidéré sa lecture de l'éthique en disant j'ai rencontré un frère et puis comment très vite il s'est mis à t'appeler sur spinoza pour éviter d'avoir un parent un compagnon ou un grand ancêtre. Il faut donc consentir à la nécessité on peut devenir ce que l'on est en aimant ce que l'on n'est c'est la leçon en aimant ce qui a de bien vous créer une liberté qui autorise que vous puissiez vous réapproprier dans ce travail de consentement aurait elle vous fait surgir une liberté voilà pourquoi tu écris un moment il faut se crée liberté il faut se créer liberté de la liberté n'est pas donné elle est à construire et elle se construit comme ça de sorte que on veut dire que pour devenir ce que l'on n'est il faut vouloir ce qui nous veux et les mais voilà pourquoi d'ailleurs le titre de cette conférence c'était aimer le vouloir qui nous veut il faut aimer le vouloir qui nous veut alors montré la liberté on nous la liberté. On est dans la logique de la mort fatigue et surtout on découvre la sérénité et c'est ce qui nous intéresse puisqu'on est dans la perspective d'une lecture existentielle de nietzsche dans la perspective d'une sagesse existentielle. Voilà en ce qui concerne l'enfant et les hypothèses et les probabilités de l'enfant.