Link Search Menu Expand Document

L'intention et le bonheur

Deuxième temps, on dire à l'intention et le bonheur. Donc la pension vous voyez ça fonctionne avec le projet donc je ne reviens pas sur la question du projet mais plutôt sur la question du bonheur. Est-ce qu'il est légitime d'intégrer un max turner dans une contre histoire de la philosophie qui se veut une histoire de l'hédonisme une histoire de l'eudémonisme une histoire de la jubilation une histoire de la fabrication joyeuse existence ou la l'histoire des vie philosophique à l'évidence oui parce qu'il y a une espèce de choses étonnantes dans l'ouvrage de sterner c'est qu'il y a une absence explicite des mots bonheur mais une présence implicite partout. Ce n'est pas quelqu'un qui invite au bonheur et si on fait un travail tout bête de recherche sur un ordinateur si ça se fait sur un certain nombre de livres qui ont été numérisé vous demander le nombre d'occurrences d'un terme et vous avez le nombre de fois où tu es l'auteur utilise de tellement il y a des limites à l'ordinateur vous pouvez à l'évidence avec un ordinateur constater une absence explicite mais vous ne pourrez pas comptabilisés les présences explicite parce que c'est partout parce que le bonheur est présent implicitement partout dans la totalité de l' œuvre de spinner qui ne lui qui vient de jouissance à être libre fort et autonome un plaisir à être maître est souverain une satisfaction évidemment ne pas être esclave et une jubilation à exercer son unicité donc à chaque fois. Qu'il y a des jeux de force à chaque fois qu'il y a des invitations à lettre de se manifester comme une force comme une puissance comme une souveraineté il y a une déviation et vous verrez que on abordera la question avec nietzsche également un petit peu la même chose il y a si vous tapez le mot hédonisme dans l' œuvre complète de nietzsche. C'est le numérisé c'est pas le cas on va manger des fichiers quand vous regardez sur les fiches que vous avez fait et que vous taper le mot hédonisme vous regardez le mois dernier je vous ai trouvé les critiques de les donner en permanence résidence les gens qui se contente de sa diront que nietzsche était un penseur qui critiquent les donner mais c'est aussi quelqu'un qui en tant qu'il nous fait l'éloge de la volonté de puissance nous dit qu'il y a de la jouissance à la volonté de puissance forme de jeu de mots pour le dire qu'il y a une volonté de jouissance chez nietzsche qui coïncide avec la volonté de puissance et l'adhésion à la volonté de puissance voyez que l'hédonisme n'est pas toujours aussi explicite qu'on voudrait bien le croire et qu'il ne s'agit pas d'aller chercher des mots pour dire il y a où il n'y a pas que les denise mais il y a simplement chercher des sens et le sentier de l'unique et sa propriété me semble hédoniste ne sont même pas radicalement hédoniste. Surnom nous dit jouir c'est prendre. Et il n'y a pas attendre qu'on vous donne toute chose qui est donné est sans valeur la seule chose qui mérite de l'intérêt ou ta considération c'est la chose faudra prise c'est la chose qu'il y aura manifester que nous sommes fort et que l'autre n'aura pas été aussi fort ou assez fort. Il y a des phrases que je vous propose comme une proposition un peu aphoristique oui et tu auras le droit à la jouissance conditionneur. Il me dit également si vous prenez la jouissance elle est votre droit c'est-à-dire que c'est la force qui légitime le droit et dans cette force là il vient à l'impératif hédoniste. Évidemment dans une opposition radicale à toute la philosophie officielle. Qui s'est manifesté depuis les présocratiques. On est en revanche dans des logiques qui peuvent faire songer à celle de calliclès espèce de véro qui apparaît vite fait chez platon et qui disparaît vite fait et qui fait un éloge de la force qui t'a l'arrière-grand-père très lointain de se dire 1h mais voilà une critique radical de cette façon classique de voir les choses à savoir il y a une liaison entre la loi et le droit. Et la loi est le droit à son légitimer où sont légitimes adam et logique de souveraineté la souveraineté le procès de choix du souverain qui est l'autre nom du prince l'autre nom du roi ou alors du peuple dans la mesure où on aura solliciter de pub sur le terrain du suffrage universel et à partir du moment où on aura ce type de socle ce type de légitimité ce type de généalogie et bien on disposera d'une loi qui va constituer un droit ou d'un droit qui sera manifeste par la loi il y a pas de logique contractuelle qui va aller sur ce terrain-là ça n'est pas la politique. Qui dit le droit ou la loire rien d'extérieur à moi ne doit pouvoir dire le droit et la loi c'est moi qui dit le droit c'est moi qui dit la loi je fais la loi je suis la loi je suis le droit je fais le droit nous dit et en ce sens je suis le propre créateur de l'hédonisme je suis moi-même l'occasion de l'hédonisme dictionnaire ce que je fais et une jouissance on pourrait imaginer que l'unique et sa propriété puisse être aussi un titre et l'unique et sa jouissance et ma propre jouissance. Dans cette perspective il nous dit c'est une idée intéressante aussi que la jouissance n'as pas à être donné par qui que ce soit par quoi que ce soit pas besoin de procéder d'une instance extérieur qui pourrait être l'état le régime économique ou une vertu il nous fait cerner la critique de l'état communiste. C'est pourquoi il a plu et il pleut encore aux anarchiste qui parce qu'il prélève c'est un petit peu comme avec goldwing d'occasion de parler parce qu'ils attendent de phrase citation d'aphorismes parce qu'il ne met pas en perspective ces phrases avec l'ensemble de l'oeuvre considère que parce qu'il y a une critique du communisme et que cette critique semble être une critique de gauche un anticommunisme de gauche ça peut donner l'impression qu'ils gardent socialisme libertaire ou une pensée libertaire on dira individualisme anarchiste pour caractériser sterner ce qui n'est pas faux ce n'est pas complètement vrai non plus il y a du moins une critique de ligue des communistes ça c'était l'autre partie du 19e siècle souvenez-vous l'an dernier la partie qu'on avait appelé l'eudémonisme social et les enjeux de l'autre 19e siècle c'était socialisme libéralisme et communisme d'un côté qui considérait que si on laissait faire l'économie il y aurait une main invisible qui mettrait de l'ordre dans tout ça et une prospérité et qui serait nationale et qui provoquerait la fameuse richesse des nations et puis si quelques-uns se trouver et oublier parle et bien cette fameuse main qui distribue de l'argent chez les capable distribuer des baffes aux pauvres et il y avait pour ça le panoptique c'était l'occasion de redresser tout ce monde-là et vous aviez en face des options socialiste ou des options communiste anarchiste tourner vous pourriez souvenez-vous la colline wayne qui étaient ces options des occasions de dire que on pouvait attendre de l'extérieur à soi-même le bonheur et qu'on pouvait l'attendre de l'état ou d'un régime économique d'un régime économique nous dit le libéral d'un état new deal socialiste ou le communiste on est dans des perspectives où les pensées sont un peu flou ça ne se constitue pas encore clairement il y aura une espèce de a fabriqué par marx engels sur le marxisme. Donne l'impression de disposer du monopole de la gauche et du communisme et de fait il y a une espèce de destruction de tous les socialisme alentours mais il y a à l'époque un ouvrier et qui est le penseur du communisme il y a une critique de viking chez 1h qui nous dit que on ne doit pas attendre d'un nouvelles et tu as la possibilité du bonheur de la joie ou de la jouissance est toujours auprès cif un état auprès de moi toujours l'unique et l'unique ne peut-être que l'antinomie de l'état donc il ne faut rien attendre d'un état. Commune il ne faut rien attendre non plus d'un régime économique libérale donc il y a une critique du libéralisme de l'époque. Et ce fameux libéralisme qui me dit de se faire le marché laisser faire la loi il y a toujours une main invisible vieux reste des listes des physiocrates qui pensait ainsi au 18e siècle et qu'il considérait que dieu faisait toujours bien les choses et puis si vous ajoute un petit peu de protestantisme dans cette aventure et bien si vous êtes riche c'est parce que dieu l'a décidé si vous êtes pauvre c'est aussi parce que dieu l'a décidé donc ne rien attendre d'un état ne rien attendre d'un régime économique et ne rien attendre en plus d'une vertu. Qui pourrait être la vertu du christianisme dont je vous parlais tout à l'heure la jouissance donc n'a pas être donné elle a à être prise parce que je t'ai donné ne vaut rien et que seul importe ce qui est pris. Ce que l'égoïste veux voilà le bonheur suprême même si ça doit se payer du malheur d'un tiers ou du déplaisir d'un tiers dans la logique chrétienne mon plaisir on doit pas se payer d'un déplaisir d'autrui surnom dit peu importe le déplaisir d'autrui parce que le déplaisir d'autrui je n'en suis pas responsable c'est autrui qui est responsable de son propre des plaisir parce qu'il suffit de ne pas vouloir être malheureux pour ne pas l'être il suffit de faire ce qu'il faut pour ne pas être malheureux. Le tien comme malheureux de ne plus être il dispose des moyens puisque les lui a donné s'agit de se révolter de se rebelle et d'affirmer sa force et en cas de défaillance de la force individuelle et bien associer sa force à d'autres force donc il y a une série d'équivalence. Dans l'ensemble de l'unique et sa propriété qui nous permet de mettre un signe d'égalité entre le bonheur le plaisir la joie l'hédonisme la jouissance d'exprimer une force et la jubilation d'affirmer l'unicité de lune.