L'injustice

3e temps pour conclure à peu près dans les temps un troisième temps de ce premier moment de la pensée hégélienne ils nous parlent du droit du nom droit et explicite content de la question de l'injustice vous voyez tout se tient je vous disais tout à l'heure qu'il y avait une pensée unique et que c' est unique pensée ils ont le plus de comme ça et unique penser qu'il effectué sterner de variation sur ce thème là donc tout ce qui est dit sur le droit renvoie au contrat tout ce qui dit sur le contrat renvoie au droit tout ce qui est dit sur droit contrat elle renvoie également sur la justice et de fait sur nous dit que et juste qui est vrai est vrai ce que j'obtiens il y a pas de définition absolue de la justice la justice c'est ce qu'il y aura réussi nous dit il est. Dans cette perspective elle nous dit tous les moyens sont bons et on trouve tout simple et une justification du mensonge et il est dans la critique de l'idéal absolu d'un quand il me dit qu'il ne faut pas mentir parce que mentir disqualifié la source du droit en a déjà l'occasion de réfléchir sur cette phrase de quand il nous dit mais on a pas besoin de dire la vérité et parce qu'il y a des gens qui ont de la dois pas il me dit mais si on est dans une réunion de révolutionnaire avec la police rentrer dans cette réunion de révolutionnaire et qu'elle nous demande les noms des gens qui sont là on va pas la leur et leur donner les noms donc on a pas d'obligation à dire la vérité et parce qu'il y a des gens qui on ne doit pas cette vérité là il s'oppose est-ce qu'il appelle l'héroïsme du mensonge nous propose l'héroïsme du mensonge il nous dit il faut savoir mentir c'est parfois héroïque il faut avoir le courage de ne pas être esclave de la vérité ne supporte aucun esclavage il comprit l'esclavage de la vérité il comprit l'esclavage de la parole donnée par exemple ce qui fait que dans un deuxième temps il justifie le parjure. Habituellement ou d'une chose si on dit une chose on fait ce qu'il faut pour réaliser la chose qu'on aura dit la promesse qu'on aura fait sinon on parle de traction on parle de parjure de manquement à la parole donnée et je te remets en audi me aucune raison d'être prisonnier d'un engagement vous dit une chose dans un cas de figure particulier dans une configuration particulière de 3 minutes plus tard cette configuration a disparu et bien vous vous dire autre chose pour me dire exactement le contraire et puis quelques temps plus tard si la configuration ce modifier encore et bien vous pouvez encore dire autre chose il n'y a pas de tyrannie de la vérité qui tiennent n'y a aucune raison qu'on soit esclave de la vérité il nous dit deux phrases que je vous donne et qui synthétise sa pensée sur ce sujet là je ne veux pas être l'esclave de maxime et puis autre phrase pas question d'être le valet de moi-même. Donc. Justification du mensonge justification du par jour et puis justification du crime s'est rapidement dit mais la chose ai dit aussi chez steerner enodis chacun a le droit de mettre son existence en péril et je dispose moi aussi du même droit à mettre mon existence en péril à mettre l'existence en péril d'autrui aussi est dans la perspective ou c'est lui ou c'est moi à bientôt sera le mieux sera pas moi donc on a la possibilité d'empêcher qu'autrui manifeste sa force et dispose de nous comme il l'entend c'est à nous de disposer de nous comme nous entendons et en ce sens tout est possible il comprit mettre à mort m'a pas quand on aura mi amor considéré que on doit pouvoir demander que la justice soit rendue par la police de juge ou le tribunal ou un tiers ou des institutions surtout pas demandé à ses institutions la de décider pour nous c'est à nous de décider pour nous et il écrit cette autre phrase que je vous invite à méditer en parlant d'autrui savim importe autant qu'elle a de la valeur pour moi et par ailleurs pour moi c'est moi-même qui m'autorise à tuer.