Du principe de precaution - II - Les techno-sciences en question

Donc je crois que pour revenir à ma proposition je pense que le débat entre technophobe technophile est stérile si on considère que on a raison et que l'autre a tort il y a des dangers de la pensée magique dans chacun des cas il y a des dangers à être technophile et je le suis je me suis évidemment c'est-à-dire que quand je fais l'éloge du clonage en disant oh mais attendez le clonage peu des choses il ne peut pas tout il y a quelqu'un qui m'a envoyé un mail en disant que c'était une pensée magique d'être technophile parce qu'on croyait que le jeune était roi mais j'ai jamais dit que je n'étais roi je suis le premier à dire qu'effectivement le jeune ne peut que ce qu'il peut et c'est déjà beaucoup et mais je ne crois pas et je l'ai écrit et les choses sont dites que on puisse aujourd'hui pratiquer la transgenèse et le clonage dans une logique de duplication donc il y a de la pensée magique à croire que le clonage se de la duplication pure et puis il y a la pensée magique à croire que le clonage c'est la panacée aussi je ne crois pas que le clonage pour la panacée je dis simplement que quand aujourd'hui on a la démonstration que on peut lutter le même supprimer un certain nombre de dis dégénérative cérébral avec des culture de cellules et des implantations de cellules neuronal jeudi mais pourquoi on s'interdit ça sous prétexte de principe de précaution parce que le principe de précaution veux que si vous interdisez ça et vient festivement vous rentrez pas possible la greffe de cerveau mais qui vous parle de grave du cerveau qui parle aujourd'hui de grève du cerveau en interdit aujourd'hui la possibilité de greffer un certain nombre de cellules nerveuses qui pourrait dire quelqu'un d'une maladie d'alzheimer par exemple sous prétexte qu'il pourrait y avoir des docteur folamour qui pourrait faire n'importe quoi avec des cartes de neurones je suis le premier à considérer effectivement qu'il faut de l'éthique et qu'il faut de l'éthique médicale qu'il faut de la bioéthique et que le principe de précaution il doit se faire non pas sur des questions de magie mets sur des questions réel je suis dans une casse utilitaire je suis dans une logique où on a un cas de figure très précis voilà on a un individu on était le type d'infection on fait si on fait on fait pas ce si on fait ce qu'on peut faire c'est si on peut faire ça qu'est-ce qu'on. C'est comme ça que ça se passe aujourd'hui en médecine mais quand on est dans des logiques française c'est-à-dire nous on considère que on travaille pas sur les embryons on travaille pas sûr je suis au travail pas sur cela bon bah très bien on avance pas il y a pas de problème à nous on est dans une logique de principe de précaution simplement tous les jours on recule parce que vous avez des laboratoires aux états-unis en angleterre ou ailleurs qui le vend trouver des brevets qu'ils vont faire avancer la science et la médecine qui veut aussi vous remplir les poches de leur budget nationaux et cetera sous prétexte que nous on a été dans notre coin respectueux du principe de précaution je crois qu'il y a une espèce d'excès du principe de précaution qui fait que on n'a pas été capable de dire que le principe de précaution était bon sur un certain nombre de sujet majeur mais que il y a un moment où il va falloir qu'on arrête de légiférer tu sais que législation sur les fumeurs est extravagante principe de précaution parce qu'on considère que vous pouvez aujourd'hui en inhalant la fumée d'un autre contracté un cancer qui va vous permettre d'attaquer votre assureur qui était le principe de précaution aujourd'hui joue pour la logique libérale parce que la plupart du temps ce sont des questions d'assurance des assureurs ne veulent plus assuré mais vous avez un risque zéro et je vous assure vous êtes des conditions qui font que si vous êtes d'accord principe de précaution et je vous dis le degré ultime du principe de précaution c'est de ne pas vivre pour ne pas avoir à mourir donc jeudi on est dans une espèce de délire aujourd'hui qui fait que le principe de précaution c'est devenu tout et n'importe quoi surtout depuis que l'autorité et aujourd'hui européenne bureaucratique est fabriqué par des gens qui sont dans des logiques de papier pour réglementer la vie quotidienne des individus maintenant d'accord avec vous sur l'idée que tu as du principe de précaution partout il y en a plus nulle part et bien remettons du principe de précaution là où c'est nécessaire et de fait faisons des analyses véritable avec des gens qui voudront travailler ensemble et pas s'envoyer des insultes au visage et qu'ils diront voilà ce qu'on peut faire avec les ogm voilà ce qu'on peut pas faire voilà les risques vous allez les dangers réel réel et mesurable j'ai déjeuné avec un compagnon paysan samedi midi on a parlé de cette question de défense bio et dans le département de l'orne et il m'a donné des arguments alors ça ce sont des arguments recevables ce sont des arguments valable mais est-ce qu'on ne peut pas lutter contre le danger par exemple de mettre en péril une biodiversité juste à côté notamment avec une biotechnologie de gauche et non libérale.