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Lecture du liberalisme

Cette proposition communiste elle suppose une lecture du libéralisme qui connaît bien et de l'intérieur vous avez vous vous en souvenez il a été lui-même jeune patron très vite et très tôt patron de gauche pourrais dire ça dire faisant fonctionner son usine de manière socialiste en considérant qu'il fallait augmenter la productivité mais en même temps à la qualité de vie des ouvriers la qualité du travail procéder à des répartition des richesses partager donc il a vu comment fonctionner le libéralisme de l'intérieur parce que les actionnaires qui étaient ses compagnons. Dans ses aventures la lui ont mis des bâtons dans les roues régulièrement quand on a voulu un peu plus de socialisme dans son entreprise les associés se mettait en travers de sa route pour empêcher le socialisme ou le ou la réalisation du socialisme dans son entreprise. Il connaît aussi parce qu'il a visité des prisons c'est intéressant parce que flora tristan mais vous on en avait parlé la première séance flora tristan elle aussi a visité des prisons et elle a conclu a des choses totalement différente de jeremy bentham et parce que le fait quand vous avez un individu qui considère que le libéralisme me fait la loi mais que quiconque n'obéit pas à la loi du libéralisme doit être panoptique si vous me permettez de vous sentir enfermé dans un panoptique ce n'est pas du tout le même personnage n'est pas du tout le même cerveau que celui qui considère que dans les prisons il n'y a que des victimes du système et c'est ici que vous voyez comment s'organise une pensée de gauche il y a une pensée de gauche il y a une pensée de droite à droite on pense effectivement que la société n'est jamais coupable mais que les hommes sont toujours responsable à gauche on pense que la société parfois coupable souvent qu'on parle pas toujours coupable mais souvent que les individus ne sont pas si responsable on veut bien dire ça ne veut pas dire qu'il ne le sont pas du tout non plus il y a une diarrhée tout à fait particulière elle est tout à fait à l' œuvre chez robert owen comme elle était à l' œuvre chez les suce des tôles bac ou tu sais matérialiste qui nous ont dit que il y avait bien sûr des déterminismes et owen on aperçoit en visitant des prisons il voit bien que dans les prisons il n'y a pas de bourgeois il n'y a pas de jean-marie il n'y a pas de problème en d'évêque pas de notaire pas de prêtre enfin pas de militaire tout seul donc il a parlé aussi à tout à l'heure si justement mais qu'il y a des ouvriers malheureux des hommes et des femmes au chômage que des femmes qui se prostituent se prostitue peut-être mais parce qu'elles n'ont pas de travail parce qu'ils n'ont pas de dignité parce que on leur a interdit de gagner correctement leur existence et bien elle se prostitue parce que ils n'ont que ça à faire pour nourrir des enfants ou elle m'aime ou une famille et donc il y a chez owen cette lecture du libéralisme en acte et on dit dans la prison il considère de fait que il faut changer du moins les déterminismes qui produisent ces misères la chez un bent amel chez un un libéral d'hier d'aujourd'hui le mans de demain s'agit de changer les hommes et pas la société les enferme on considère d'ailleurs que l'enfermement suffira pour les éduquer et on les traite en les maltraitant et on considère les libéraux et bien ils ont intérêt à se réinsérer et souvent la pensée disciplinaire de la droite et à gauche théoriquement et à gauche on pense que il faut plutôt changer la société et pas les hommes et que en changeant. La société et bien on changera les hommes c'est une idée souvenez-vous qui court chez tous les utilitariste français et je le renvoie parce que ces belles pensées qui voit le jour ici et qui nous dit mais changeons les machines qui vont produire les délinquance et nous aurons supprimer les délinquants mais on ne supprime pas les délinquants avec la peine de mort par exemple ou avec l'incarcération ou avec des politiques punitives ou disciplinaires c'est pas comme ça qu'on règle les problèmes on règle les problèmes en s'attaquant à la société. Et la société elle génère des douleurs des souffrances des misères elle génère du crime elle génère de la prostitution et c'est parce qu'il y a cette causalité entre misère et délinquance qu'il faut s'attaquer non pas aux délinquants mais à la misère et aux conditions de misère et empêcher que ces conditions puisse durer ou ou perdurer voilà le propos politique de wayne à cette époque. Il fait une opposition wayne entre les riches et les pauvres. Qui ne recouvre pas exactement l'opposition que marc fait entre les bourgeois les prolétaires je vous rappelle que le bourgeois chez marc ce sont ceux qui possèdent les moyens de production et que les prolétaires sont ceux qui ne possède pas les moyens de production c'est juste à partir de la possession de la composition des moyens de production qu'on désigne le bourgeois et le prolétaire et tu marques de la vie comme ça au moins tu ne vois pas la vie comme ça il considère qu'il n'y a pas les bourgeois les prolétaires mais qu'il y a les riches et les pauvres considère dans une perspective très moral ou moraliste c'est intéressant que nous puissions faire de la morale avec la politique ou la politique avec la morale que les riches sont responsables parce qu'ils ont tous et que les pauvres ne sont pas responsable parce qu'ils n'ont rien ça pourrait paraître cours mais de fait il est possible pour un riche de ces deux lettres. Suffit de donner tout ce qu'on a alors que c'est plus difficile pour un pauvre de devenir riche plus complexe en ce soir s'il y a une responsabilité elle n'est pas chez les pauvres elle n'est pas du côté des pauvres qui n'ont pas le choix entre pauvreté et richesse alors qu'un riche a toujours le choix et il peut toujours devenir propre s'il le souhaite. Il y a une opposition également avec les libéraux bien sûr sur la lecture fait des richesses. Je veux pas du tout à l'heure de l'espèce de théodicée qui permettait aux libéraux de dire que il fallait laisser faire la main invisible et que de toute façon le marché s'autoréguler et réguler tout correctement et qu'il n'y avait pas de problème de ce côté-là donc la richesse et bonne en soi pour un libéral quand smith et d'autres mais smith avec sa richesse des nations ricardo et quelques autres écrit sur ce sur ce sujet sur la question des richesses il pense qu'elle est bonne toujours la richesse et puis il faut la visée la vouloir l'entretenir en rendre possible l'augmentation et que la richesse de quelques-uns c'est de toute façon la richesse de tous souvenez-vous c'est espèce de mécanique passe de drôles de logique qui fonctionne sur le principe des vases communicants pour un libéral ça dire que vous augmenter la richesse des nations et de fait vous augmenter la richesse de tout le monde de fait non c'est vous augmenter la richesse de quelques-uns et parfois hein parce que vous êtes monté la richesse de quelques-uns vous augmentez de la pauvreté de ceux qui sont pauvres puisque la pauvreté est la condition de possibilité de la de la richesse vice et versa donc il y a à cette lecture chez les libéraux kiné évident la lecture d'un owen qui lui pense que deux fait et dans l'absolu l'argent coron la richesse et mauvaise parce qu'elle elle génère systématiquement l'injustice la tyrannie et la présomption sont les trois défauts qu'il met en perspective aucun riche nous dit il ne peut-être juste est bon. D'accord. À réfléchir c'est pas. C'est une c'est une idée intéressante. Elle n'est évidemment pas dans la perspective du marxisme qui lui mars ne pense jamais les choses en terme de richesse ou de pauvreté et c'est parfois dommage alors que on l'a vu avec laura 10 tristan on le reverra avec fourier cette sensibilité socialiste à avoir avec une espèce de sensiblerie romantique intéressante à laquelle j'adhère mets une sensiblerie romantique qui considère qui fait qui vraiment la richesse la misère la pauvreté ça se voit l' œuvre dans les usines dans les prisons dans les taudis dans les rues et pas forcément dans les traité d'économie ce que fait marx marx et un grand con pulseur de traité d'économie et un grand homme de bibliothèque et on voit que wayne et flora tristan et quelques autres. Fourier sont des individus qui veut voir comment ça fonctionne sur le terrain. Les expériences de fourier comme hydra pied comme petits commerçants comme apprenti sur le port de marseille toutes ces choses avant générer chez lui une vision du monde qui est intéressante parce que elle est humaniste il y a une espèce de socialisme humanis dans cette aventure qu'on ne trouve pas dans un socialisme qui sera plus économiste on parlera avec fourier d'économiser espèce de religion de l'économie il n'y a pas de religion de l'économie chez évidemment.