Construire avec des hommes reels

Comme je vous dis qu'il est plus subtil que bentham sur la question du passage de l'individu à la totalité via l'exemplarité il est aussi a plus intéressant que 20 hommes parce que il a une théorie de l'homme réel et pas du tout une théorie de l'homme ne fonctionnait souvenez-vous bentham disais je postule et accordez-moi ce postulat que tous les hommes veulent naturellement le bonheur et le plaisir et qu'ils veulent le bonheur et le plaisir des autres et à partir du moment où vous m'avez donné votre accord sur ce postulat que je vous propose et bien on construit tout une éthique. Tous les individus ne veulent pas forcément la jouissance d'autrui le bonheur de l'autre ou leur propre jouissance et parfois quand ils veulent la jouissance c'est dans la souffrance il faut compter avec ce que j'ai appelé des délinquants relationnel et que je parte mis l'appel des fléaux servir de la traduction de george ta nièce il parle des fléaux c'est une vieille traduction mais je la trouve très agréable parce que elle a été bricoler par ailleurs dans les traductions plus moderne et plus récente mais j'aime bien que nous allions à faire de temps en temps à des fléaux j'ai des noms s'il vous plaît. Alors qu'est-ce qu'un fléau il ne nous dit pas comment ça marche très précisément mais on peut t'imaginer qu'un fléau c'est un individu avec lequel aucun contrat n'est possible aucun contrat existentielle aucune intersubjectivité éthique n'est possible parce que il n'est pas forcément claires sur lui-même sur sa subjectivité sur son individualité n'est pas forcément clair non plus sur son désir sur quoi il a construit son existence tout ça est fragile tout ça n'est pas forcément très clair et à partir du moment où cet individu n'est pas sûr de lui ne peux pas constitué de relation qui soit instable sur durable ou susceptible d'être hédoniste puisqu'on est toujours dans la perspective je me rappelle d'un utilitarisme hédoniste donc comment est-ce qu'on fait avec ces individus la comment est-ce qu'on fait pour les éviter. Pour les empêcher de nuire pour prévenir ou pour guérir les délinquants relationnels les fléaux. Pour ce faire il nous propose une société de justice et c'est ce qui va être me semble-t-il le concept majeur de la philosophie de stuart mill là où on pourrait imaginer que bentham et les libéraux au sens classique du terme sont plutôt des gens qui ne sont pas gêné par la justice il y a chez les libéraux. Cette lecture du réel qui est tout à fait judéo-chrétienne et qui nous dit que les inégalités sociales ne proviennent pas de la société mais ils proviennent de la nature c'est naturel des et des injustices il faut composer avec et on a aucun moyen de les réduire stuart mill n'est pas un libéral qui pense ainsi considère que les inégalités sociales ne sont pas défendable et que l'injustice n'est pas défendable qu'elle est susceptible d'être créé notre produite la justice et qu'il faut s'en donner les moyens il nous dit. Il faut que nous puissions interdire c'est ce que je vous disais tout à l'heure interdire les pouvoir de nuisance si la liberté du fléau c'est de nous nuire et bien il faut empêcher la liberté du fléau et la contenir l'empêcher avec un certain nombre de technique alors soit on est dans la prévention soit on est dans la répression une théorie beaucoup plus rapide de la prison de la justice sociale qui est en même temps un ordre social d'un ordre juste pour le coup chez lui aussi et mais en même temps c'est plutôt la prévention qui l'intéresse et il considère et là on n'est pas du tout dans la logique des libéraux mais il considère qu'on doit construire une société qui doit empêcher les injustices et qui doit au maximum réaliser la justice.