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Godwin pere de l'utilitarisme

Le deuxième temps qui m'intéresse un petit peu plus c'est la question de l'utilitarisme je pense que cette fois-ci on est plutôt sur une piste plus sur plus intéressante également il y a vraiment me semble-t-il une invention chez goodwin qui est l'invention de l'utilitarisme anglo-saxon. On est l'occasion de parler d'un utilitarisme français. Que vous trouverez pas dans les histoires de la philosophie puisque l'utilitarisme passe pour être anglo-saxons. la ligne mais on a eu l'occasion de voir comment ça démarrer très vite et très tôt en 1751 avec maupertuis. Dans son essai de philosophie morale et comment on trouve et aussi chez helvétius. De l'esprit 1758 de l'homme 1772 vous donne les dates parce que beccaria qui lui d'italien traiter des délits et des peines 1764 et le système de la nature 1770 veuillez comment de 51 à 70 et une vingtaine d'années pendant lesquelles la pensée française mais car il y a été francophile francophone présent à paris souvent et la pensée européenne meilleure à cette époque-là mais la pensée utilitariste elle est déjà là la réflexion que beccaria fait sur les délits les peines d'emprisonnement la justice pas la peine de mort abolitionniste avec des arguments qui sont des arguments qui traverse les siècles et qui traverse sont les siècles quand on sera quand on est abolitionniste. Et bien on est avec les arguments de beccaria il y a là une pensée utilitariste elle est majeure incontinent oublié d'abord dans sa partie française et puis ensuite dans la partie anglo-saxonne du moins vu chez nous de la fenêtre française ou on connaît assez peu c'est bon nous sommes malin parce que nous sommes ce mal là ce monde-là parce que nous sommes dans une lecture trek ancien très allemand donnera l'occasion de voir un peu comme les choses se font pourquoi est-ce que on est passé nous du côté de la domination allemande plutôt que de la domination anglaise sur ce terrain-là ça a beaucoup pas voir avec un certain victor cousin qui lui essaie de faire manger la révolution française au philosophe en 10 ans avec votre matérialisme votre disney votre athéisme vous avez failli installer une catastrophe définitive est éternel et il nous faut une philosophie qui nous empêche de genre de chose-là alan plutôt la chercher du côté des allemands. Et de légumes en particulier les anglais avec godwin propres et les suivants et on verra ensuite il met propose une philosophie majeur cardinal me semble-t-il alors lui reprocher à godwin de ne pas avoir dit the originals ça c'est ce que font les gens qui font un travail qui m'a à mon avis tu me manques vraiment d'intérêt te dire aller voir les idées chez telle ou telle en disant c'est déjà chez machin bidule c'est déjà ça et cetera charles andler a fait ça pour nietzsche. En disant que la théorie de l'éternel retour était déjà j'ai dit qu'elle était déjà dans la bhagavad-gîtâ qu'elle était déjà chez les orientaux la question de si ça se retrouve déjà ici la voix oui bien sûr l'intérêt n'est pas dans les idées neuf et original ils sont toutes les idées originales ils sont ils sont chez les grecs déjà tout c'est une carrière d'un chantier dans lequel 99 % de nos idées se trouve. Il y a une ou deux idées nouvelles parce que par définition plate on a pas pensé la bombe atomique et aristote n'as pas pensé la question de l'effet de serre donc il y a quelques idées nouvelles qui ne peuvent pas être penser clairement avec la philosophie antique même si on peut l'utiliser mais toutes les pensées sont déjà ailleurs et partout elle travaille les philosophes et il me semble que tu es moins intéressant par les idées qu'on peut repérer ici ou là on dira ça c'est du beccaria ça c'est ça ça pourrait du mot pertuis et puis ça c'est un petit coup de un petit peu de voltaire ou c'est pas très intéressant il me sens plus intéressant de voir ce qu'est la synthèse le bateau ivre de rimbaud c'est pas une affaire de l'alphabet ce serait trop simple donc là c'est la même chose si c'est un alphabet les idées qui sont agence aimer ça produit une idée qui me paraît beaucoup plus intéressante et cette thématique c'est celle du 18e siècle bien sûr mais ça permet de penser la philosophie essentielle du continent anglo-saxon on y retrouve les grandes du 18e siècle bien sûr ça veut dire que en fait la raison est toujours dans la lune la raison calviniste a une audi lui goodwin il parle d'un exercice naturel de notre esprit exercices naturel de notre esprit. Pourrait penser que c'est plutôt un exercice culturel de notre esprit et que il faut être éduqué à la raison qu'elle est pas donné véritablement lui pense que non espèce de optimisme généralisé nous disposons de cette raison il faut en faire usage un bon usage et le visage de la raison c'est l'usage de la raison peux pas en faire un mauvais usage ça c'est un d'optimisme généralisé le progrès 2 rue du progrès également il y a un mouvement descendant il est perpétuel on est dans la logique de condorcet on aussi dans la logique du 18e siècle c'est une logique déplace un peu la logique chrétienne le temps du christianisme et un temps linéaire et bien ce temps linéaire il prend de la vitesse et prendre la puissance il part en hauteur et on s'en va vers quelque chose de neuf quelque chose de nouveau quelque chose de mieux et cette croyance au progrès c'est ce qu'il y a un fuse tout le xviiie siècle une grande partie du 18e siècle et c'est ce qui fait aussi le fil rouge du 19e croyance en la parole qui est identique c'est la méthode qui est identifié la vérité que tu penses que quand on connaît la vérité il suffit de connaître la vérité pour être libéré et pour être convaincu pour faire le travail qui va permettre de changer le monde un petit peu comme le freudisme qui pense que la conscientisation de ce qui fait là. particulier une résistance par exemple et bien la conscientisation de la résistance ça fait sauter la résistance et que la connaissance et la conscience c'est la disparition induite immédiatement c'est aussi une option très optimiste de croire que quand on connaît la vérité elle libère immédiatement et que on ne peut pas ne pas triompher quand on dispose des moyens de la vérité.