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Antonio Beccaldi, critique des stoiciens (2eme discours)

Deuxième discours donc. Fais suite à celui de leonardo bruni celui d'antonin aldi qui lui aussi est un personnage conceptuel c'est bon qu'un personnage historique on le connaît il a on sait on sait qu'elle fait l'existence il a eu il a écrit des poèmes licencieux mais c'est aussi l'epicurien type comme on verra chez rasman épicurien type donc on a pu dire qu'il était celui-ci celui-là ou inspiré de tel ou tel personnage mais ce qui est essentiel pour le discours et pour le propose c'est que il vaut comme comme un épicurien emblématique. Pour le l'epicurien emblématique le plaisir n'est pas identifiable pas le souverain bien n'est pas identifiable. La vertu au plaisir très précisément ça veut dire que on est dans une logique franchement hédoniste même s'il faut expliquer ce qu'est le plaisir en quoi il consiste la évidemment pas grand-chose à voir avec le plaisir de débaucher il a avoir souvenez-vous avec la satisfaction des sols désirs naturels est nécessaire ce qui fait que l'austérité épicurienne et finalement assez compatible avec l'austérité chrétienne. On oppose habituellement le stoïcisme l'épicurisme avec des espèces de logique classique et traditionnel on considère qu'il y a d'un côté l'austérité des stoïciens plus de votre côté de la joie des épicuriens c'est pas faux à l'évidence ça fonctionne aussi comme ça mais c'est une caricature bien souvent il y a un ascétisme stoïciens plaisir épicurien là encore dans dans l'histoire de la philosophie les choses ne sont présentés comme ça l'héroïne disposition d'un côté et puis la sérénité des épicuriens qui serait plutôt soucieux d'être tranquille qui serait plutôt désir de te connaître l'ataraxie c'est-à-dire l'absence de troubles de souffrance on aurait l'honnêteté du côté des stoïciens et la volupté du côté des épicuriens ça vous voyez ça dans toute la littérature critique à l'endroit de de l'epicurie non en fait on vous pose d'un côté cicéron sénèque qui sont du côté de la moralité et puis de l'autre et piqûre et du crès qui serait du côté de la débauche je vous connaissez cette histoire elle est classique c'est une histoire qui se trouve volatiliser avec une renaissance qui nous dit que l'épicurisme ce n'est pas ça du tout et que si c'est ça il faut définir les termes de joie les termes de plaisir et de sérénité ou de volupté à l'évidence on peut utiliser tous vocabulaire mais il suppose une robe définition est une recontextualisation on va parler du plaisir on va parler de la volupté de la joie bien sûr dans le christianisme épicurien mais il faudra dire ce que se cache ce qui se cache derrière ces termes là. Le plaisir est donc le souverain bien mais le plaisir c'est l'utile et ça c'est une question extrêmement intéressante parce que là encore c'est quelque chose qui travaille l'épicurisme mais ça travaille toute la philosophie ensuite et ça nous travaille encore aujourd'hui l'idée qu'on puisse être vertueux non pas parce qu'il faut aimer la vertu pour elle-même parce que il faudrait mets la vertu pour la vertu mais il faut aimer la vertu parce qu'elle est susceptible de nous apporter autres choses notamment de la joie du du bonheur ou du plaisir d'abord aller naturel. La vertu le plaisir identifié parce que il suffit de regarder les animaux les enfants ça c'est une idée aussi qu'on retrouve chez les épicuriens classique naturellement ils vont du côté du plaisir naturellement les enfants n'ont pas besoin d'être éduqué au plaisir ils vont vers le plaisir et cherche à éviter le déplaisir les animaux c'est la même chose il suffit de voir comment il se comporte dans la nature ils ne vont pas vers le déplaisir il essaie de fuir le déplaisir il y a un peu près que les humains qui soit capable de cette étrange perversion qui consiste à vouloir le déplaisir chérir le déplaisir et faire ce qu'il faut pour le produit revoir se priver de plaisir c'est une invention essentiellement humaine le souverain bien les épicuriens il suppose donc l'utilité l'accord avec la nature et moi suppose également la joie c'est une c'est une notion qu'on a du mal à l'utiliser depuis que le christianisme la légèrement confisquer on imagine toujours des curés gratin leur guitare quand on parle de la joie aujourd'hui on a du mal à dissocier la joie du christianisme et pourtant tu paillotes essaie de vertu elle est présentée par par l'épicurisme le dernier épicure ou une certaine manière presque la pensée des piqûres c'est qu'il faut jouir du pur plaisir d'exister n'a pas grand-chose à voir avec le dis curé et sa guitare à la joie la joie des chrétiens la joie épicurienne suppose une espèce de coïncidence entre soi et soirée entre soi et le monde est cette coïncidence il est susceptible d'être fabriquer produit tu es générer donc c'est même d'ailleurs toute la proposition de l'épicurisme.