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L'attitude epicurienne face a la mort

Alors sur ce sur ce sujet spécifique de la mort comment est-ce qu'on peut apprivoiser la mort comment on peut s'y prendre. Épicure dit viens déjà il faut démonter intellectuellement c'est quand on aura démonter la mort et qu'on l'aura définies quand on aura dit ce qu'elle est qu on aura plus de l'apprivoiser constaté qu'elle n'est pas à craindre pour un certain nombre de raisons la première et que quand la matière se décompose quand l'âme qui te le corps c'est-à-dire quand les atomes qui font la quitte les atomes qui font le corps et bien il y a une décomposition au sens étymologique mais il n'y a rien à craindre de cette décomposition par définition ça peut être désespérant de constater que on a rien à attendre de cette décomposition n'as rien à craindre non plus si on a rien à espérer on a rien à craindre de de cette décomposition la physique qui condamne la métaphysique elle suppose que finalement la mort ne soit entendu que comme un processus physiologique biologique atomique anatomique et c'est du côté scientifique il s'agit de les voir comment on peut résoudre ce problème alors s'il y a un problème parce qu'il y en a un tout de même oh est-il. Et bien il est dans cette idée que on aborde mal la question de la mort et qu'il faut bien bien la pensée que quand on a pense bien on peut éventuellement le l'apprivoiser il donne deux thèses enfin de deux hypothèses ou deux ou deux techniques d'une certaine manière pour apprivoiser cette question de la mort et il part du principe que finalement la douleur et la souffrance ou le bien et le mal ne sont que dans les sensations sont les sensations les perceptions qui nous permet de savoir si on souffre si on a mal ou si on est heureux si on a de la jouissance donner du plaisir aussi on a de la douleur c'est d'abord la sensation qui nous qui nous qui nous rend possible cette information. La mort est privation cette sensation quand on veut on a plus la possibilité de percevoir ou de sentir une certaine manière elle n'est pas là pour nous puisque quand on meurt on a plus la possibilité de savoir qu'on souffre et piqûre dis si elle est la la mort moi je suis plus et si je suis là il n'est pas encore donc finalement il y a pas grand-chose à craindre de quelque chose qui n'existe pas elle ne concerne ni les vivants. Pour lesquelles elle n'est pas une il est mort pour lesquelles elle n'est plus donc il peut y avoir a priori dans ces idées là quelque chose qui ressemble à de la sophistique on a envie de dire ouais mais ça marche pas moi je suis quand même inquiet c'est bien cette démonstration et comme une des preuves de l'existence de dieu ne me prouve pas l'existence de dieu c'est preuve que la mort ne doit pas être akram ne sont pas des preuves qui me satisfont véritablement et pourtant ça marche c'est idées qui effectivement quand nous sommes morts nous ne pouvons plus ressentir quoi que ce soit et nous ne pouvons plus évidemment nous percevoir comme étant mort donc il n'y a pas de douleur dans le fait d'être d'être mort où est-ce qu'elle est la douleur alors et bien la douleur elle est pas dans le fait d'être mort il est dans le fait d'avoir à mourir et c'est ça qui est problématique c'est pas le fait qu'on meurt un jour c'est le fait qu'on n'ait à mourir sur le fait qu'on soit des êtres pour la mort de heidegger il y a pas un souffrir de quelque chose qui a priori n'est pas là puisque effectivement la démonstration et imparable si elle est là j'y suis pas si j'y suis elle n'est pas là donc elle ne concerne ni les mains en est vivant ça paraît ça paraît sophistique mais c'est une pensée de la mort peut causer la souffrance je pense mal la mort que je souffre d'avoir à mourir. La mort elle-même n'était pas problématique c'est c'est à voir à mourir qui peut être problématique conséquemment penser cette question la pensée la et vous verrez que vous disposez d'un pouvoir sur cette pensée là vous n'avez pas de pouvoir sur le fait de ne pas mourir à l'évidence vous n'avez pas le pouvoir de non plus de mourir à telle date plutôt quinté l'autre sur le suicide on y reviendra mais vous avez au moins la possibilité de travailler sur cette question là vous avez le pouvoir de travailler sur cette idée que vous avez de votre propre mort je vais mourir qu'est-ce que je fais de cette idée-là qu'est-ce que je fais de cette évidence la épicure dis et bien c'est cette idée-là qu'il faut apprivoiser sachez que vous vous pourrissez l'existence en considérant que la mort et un problème parce que vous êtes en train de parasite et d'une certaine manière le présent qu'il en a pas besoin le présent n'as pas besoin d' être parasité par le futur votre vie n'a pas besoin d' être parasité par la mort vous mourrez nous mourrons le plus tard possible tu as souhaité mais en attendant nous sommes vivants et c'est pas inintéressant et c'est pas seulement de la sophistique mais c'est pas une intérêt de savoir que finalement nous craignons des idées nous craignons des hypothèses ces hypothèses se réalisons bien sûr mais nous craignons des choses qui ne sont pas là donc ça veut pas dire que le jour où la mort la mort arrive il ne s'agit pas de la pensée mais on n'est pas du tout dans la même urgence quand on pense l'idée de la mort comme quelque chose à venir et quand on pense la mort quand elle est là l'idée de se dire on verra bien quand quand elle arrivera me semble une une idée assez efficace pour pour pour faire avec. Épicure dit ne pas vivre en plus de ça ne pas vu on n'est pas un mal le fait ça renvoie un tout tout les options de liste d'individus qui considère qu'il y a un inconvénient et rené ou qu'il aurait mieux valu ne pas naître épicure dis également la non-vie n'est pas un mal mais mal vivre est un mâle c'est pas si c'est bien vivre qui est un bien et mal, qui est un mâle conséquemment la la conclusion que nous devons tirer de cette cette vérité d'évidence c'est que il faut bien vivre et puis quand on vit bien on apprivoise la mort quand montagne diras que philosopher c'est apprendre à mourir je dis quelque chose qui s'apparente à ça va dire que bien vivre c'est donner à la mort la place qu'elle doit prendre et pas une autre et la place qu'elle doit prendre ses la place qu'elle prendra quand elle arrivera la mort pas tout de suite je suis mortel mais je ne suis pas amoureux et quand je suis mort je ne suis pas mort et ce sont des éteins absolument différents avec lesquels il faut faire et il faut penser en fonction de ses états la mortel mourant ou mort mort rien à craindre pas de problème c'est que les sensations ne sont plus là alors c'est autre chose c'est autre chose c'est une autre question est mortelle également mortel c'est pas là on verra quand je serai à la bourre en c'est là on est en train de mourir alors peut-être qu'il faut envisager le problème autrement on verra ce sera la question de la douleur et la souffrance on n'est pas à l'époque dans les analgésique et dans les acharnement thérapeutique on souffre longuement parfois dans une existence n'a pas les moyens de guérir les gens et bien la théorie on développera mets la théorie des piqûres elle est toute simple ou la souffrance est insupportable et on meurt ça tient pas longtemps ou alors la souffrance est supportable et on meurt pas et donc on peut faire avec donc même chose si elle est là je suis pas mort donc il faut faire avec et les stoïciens s'en souviendront exposition grandes théories de la douleur ventre théorie de la douleur à apprivoiser et elle sera assez proche des. Les épicuriens on retrouve souvenez-vous la thèse de cyrénaïque dans cette idée qu'il ne faudrait se soucier que du présent et ne jamais parasiter le présent avec des idées du futur le fait que nous soyons vivant ne doit pas être parasité par le fait que nous allons mourir le fait que la mort viendra un jour ne dois pas rendre impossible la vie présente c'est déjà quand on a dégagé je dirai quand on a dégagé l'espace pour la vie quotidienne pour le pour le présent que on a fait un travail essentielle sur le terrain philosophique il ne s'agit pas de gâcher sa vie ou s'agit de ne pas gâcher sa vie avec l'idée d'une mort qui est à venir l'avenir n'étant pas là on a une espèce de sérénité qui est qui est construite sur sur cette hypothèse il s'agit toujours de toute façon dans l'épicurisme. Débuter le pulsion de mort le l'expression n'existe pas chez chez épicure bien sûr elle est inventée par freud qu'il a des couvre-feu qui la formule comme tel dans les années 20 mais on pourrait imaginer que pulsion de répulsion de vie on reviendra là-dessus mais ce sont des catégories qui fonctionne très bien en l'épicurisme on verra comment chez lucrèce par exemple il s'agit de vénus et mars le dieu de l'amour est plus le dieu de la guerre qui se partagent finalement la réalité le monde se partage la réalité se partagent toujours entre pulsion de répulsion de vie et puis on nous dit laissez tomber la pollution de mort ne travaillais pas à la propre souffrance de vous-même ne soyez pas et au thon petit mot mais non c'est espèce de bestioles qu'on trouve chez terence qui est le le bourreau de soi-même je suis le bureau je suis la victime de moi-même je fais mon propre malheur éviter ça dit et piqûre et ils vivent un certain nombre d'individus on sait pas qui ça peut être josias par exemple qui teint cyrénaïque tardif pas très hédonisme et qu'il faisait et qui faisait les loges du suicide et piqûre disais que finalement il faut pas il faut pas dire qu'il y a un inconvénient être n'est pas solution si c'est un problème de traîner on a la solution il s'agit de se suicider ça passe très rapidement c'est pas il y a pas un grand développement sur la question du suicide mais la chose ai dit comme une comme une hypothèse là encore c'est une idée qui comme celle de la douleur sera plus amplement développé par par les philosophes stoïciens.